Objectifs 2015 : + 9 mois

L’été est fini, les neuf premiers mois de l’année sont écoulés, que reste-t-il de nos amours de mes objectifs ? Pour rappel, vous pouvez trouver la description ici, ainsi que les bilans à 3 mois et 6 mois.

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  • Trier les placards de la Crevette. Une chatte n’y retrouverait pas ses petits, j’ai de tout, du trois mois au deux ans.
    Non seulement c’est fait, mais j’ai mis les cartons à la cave. En revanche, deux nouveaux défis se posent : j’ai croisé des mites dans le carton des gambisons (veste matelassée pour le combat médiéval) de l’Anglais et la Crevette ne s’arrête pas de grandir, je vais donc bientôt devoir ranger ses affaires d’été.
  • En profiter pour descendre à la cave le matériel de puériculture déjà dépassé : la nacelle de la poussette ou le transat devenus trop petits, entre autres *soupir*.
    On s’en est occupées dès janvier, quand belle-maman est venue m’aider à débroussailler l’appartement.
  • Ranger mes papiers. Avant six mois. Vu que plaider la phobie administrative, c’est so 2014.
    J’en était venue à bout en juillet. Sauf que c’est comme le tonneau des Danaïdes: sans fond. J’ai rien fichu de l’été, donc j’ai trois mois de paperasse en souffrance. J’envisage de m’y coller ce week-end.
  • Me remettre à cuisiner, de préférence des trucs pas trop gras. Gros challenge pour moi qui me nourris exclusivement de chocolat noir et de champagne depuis le 1er décembre.
    Je suis prise de la flemme du cuistot depuis deux-trois semaines, sans doute parce qu’on a été très occupés les week-ends et que je n’ai pas pu me ravitailler comme j’aime.
  • Redéfinir mon style vestimentaire. J’en ai marre d’être toujours habillée pareil et/ou de me trouver moche dans mes vêtements. J’explore déjà quelques pistes.
    Finalement, je ne pense pas consacrer d’article à la question, mais je crois bien que je me suis trouvée. Bon, j’ai un peu percé mon porte-monnaie au passage, mais je ferai attention les mois qui viennent.
  • Faire (encore) du tri dans mon armoire, trouver un dépôt-vente pour les rares tenues ou accessoires de marque et mettre le reste en jeu à la prochaine braderie.
    L’objectif maudit, apparemment. J’attends pieusement le prochain appel de dates pour la braderie, en priant pour que ça tombe un jour où je serai disponible.
  • Retourner à la piscine. Pour cause de grossesse puis d’absence de mode de garde et enfin d’avalanche de boulot, je n’y ai pas mis les pieds depuis bientôt 18 mois et ça me manque. Surtout l’hiver (si, si).
    C’est fait, alléluïa ! J’ai renoué cet été dans la piscine de mes beaux-parents et, n’écoutant que ma balance mon courage, je me suis inscrite à un cours à la rentrée. Je bois la tasse pendant la moitié du cours, mais j’apprends enfin autre chose que la brasse (et même ça, je suis en train de le réapprendre).
  • Changer la déco du salon. La table basse est en train de céder, le tapis est usé jusqu’à la corde (c’est le cas de le dire !) et je ne peux plus voir le canapé en peinture. Bon, ensuite, vu que ça risque de coûter, c’est une opération de longue haleine.
    Ca n’a pas changé, on n’a toujours pas avancé, et vu que les impôts nous sont tombés dessus il y a quinze jours, ça attendra encore, m’est avis.
  • Programmer une pause en amoureux vers fin février/début mars. La fin d’année a été épuisante, nous reprenons le boulot cette semaine et ce sera de nouveau l’avalanche, et nous avons un break de trois jours programmé à Vienne en avril. Mais pour tenir jusque-là, il va falloir serrer les dents…
    Comme je le disais en juillet, nous avons pu souffler à Vienne et à Bath, puis pendant les vacances d’été. En revanche, si monsieur a prévu de partir en Ecosse à la fin du mois (j’vous raconterai un peu), il n’y a rien à l’horizon avant les fêtes.
  • Finir mon roman. J’ai jusqu’au 19 janvier (ultime limite arrachée après d’âpres négociations et grâce à une dérogation exclusive), et je le sens très moyen.
    Je n’y croyais pas vraiment moi-même mais j’ai réussi. Ce fut un travail épuisant mais gratifiant (j’avais même 8 minutes d’avance sur ma deadline, la classe ultime).
  • Essayer de participer à d’avantage d’événements costumés : campement, week-end, bal… Ca nous manque à tous les deux, et on embarquerait bien la Crevette au moyen-âge.
    Nous avons eu notre premier campement médiéval depuis… ouh là, longtemps, et avec la Crevette. Si les débuts furent un peu laborieux pour la demoiselle qui avait du mal à me lâcher, on a quand même passé un bon moment, et on est, a priori, les bienvenus dans l’association.
    J’ai également pu reprendre la danse, quoique sans monsieur – qui gardait le bébé crevé – pour le premier cours.
  • Continuer à me ménager des sorties culturelles : reprendre mon abonnement à l’Opéra (dès avril-mai, cette fois…), essayer de retourner au théâtre, trouver des concerts ou spectacles susceptibles de me plaire… Pas un gros challenge, me direz-vous, mais il faut savoir se faire plaisir.
    Objectif rempli, avec un bémol : j’ai dû annuler en catastrophe la sortie de juillet, parce que je n’étais pas bien. J’envisage une sortie au théâtre avec une amie, ainsi qu’une ou deux expos (mais avec les horaires de monsieur et les tarifs de baby-sitter, c’est parfois galère).
  • Utiliser toutes les Smartbox et assimilés qui s’entassent depuis plusieurs mois. Je voulais m’en occuper en décembre, mais j’ai comme qui dirait eu autre chose à faire.
    Je n’ai pas commencé, mais j’ai intérêt à me remuer le popotin, vu qu’elles sont valables jusqu’en mars. Comme toujours, le souci est le temps (et le fait que cette formule n’est sans doute pas pour moi, car j’oublie toujours l’existence de ces box).
  • Prendre les rendez-vous médicaux qui traînent depuis des lustres pour cause de grossesse / pas le temps / pas d’attestation de mutuelle. En priorité, le dentiste et l’ophtalmo, d’ici trois mois, on y croit.
    Après le dentiste, j’ai vu le gynéco qui m’a dépisté plein de trucs sans rien trouver (c’était l’année), et l’ophtalmo qui m’a appris que ma vue n’avait pas bougé. Ce qui signifie que ma myopie est enfin stabilisée vu que cela fait plus de cinq ans que j’ai la même correction. En revanche, si je vois flou quelquefois, c’est parce que mon astigmatisme est trop léger pour être corrigé par des lentilles.

Voilà donc où j’en suis. C’est quand même pas mal, avouez. Je m’aperçois tout de même que ce qui me manque le plus, c’est le temps de faire (tout) ce que je veux, mais ça, c’est malheureusement logique avec un enfant en bas âge et un job à plein temps (et encore, je m’estime très chanceuse).
Rendez-vous le 31 décembre pour le bilan de l’année !

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