Un week-end en Normandie

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  • Réussir à lever tout le monde à un horaire décent.
  • Contempler la montagne de trucs à rassembler / emballer / charger (vêtements, lit parapluie, alcools divers, ordinateur, doudous, gâteau surprise…) en se disant qu’on va forcément oublier des choses et qu’on ne décollera jamais avant midi.
  • Par un miracle extraordinaire, être en voiture avant 10h (soit on a fait des progrès de fou en logistique, soit les constellations étaient alignées).
  • Arriver les premiers, au milieu de nulle part, entre un champ de colza et un bout de forêt.
  • Oublier les manteaux dans la voiture pour tout le week-end.
  • S’offrir un long déjeuner à l’ombre, avec la ratatouille la plus épicée (et malheureusement immangeable pour moi) de ma vie.
  • Piquer une rapide tête dans la piscine à 18° et avaler un Doliprane pour me débarrasser du mal de tête persistant.

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  • Emmener les petites en balade et cueillir jacinthes sauvages, myosotis et boutons d’or. Bénir L., son sens de l’organisation et ses multiples solutions de portage.
  • Perdre une balle de ping-pong dans la haie de mûriers (je reste convaincue que ce sont des mûriers).
  • Siroter un mojito amélioré (c’est addictif, ce truc) pendant que l’Anglais s’échine à répondre aux commandes, et écouter les autres chanter autour du barbecue.
  • Veillée musicale / chantée / dansée pendant que je comate dans le siège-hamac du salon.
  • Réveil à 7h30, merci Crevette !
  • Promenade matinale en forêt tous les trois pendant que tout le monde roupille encore : monsieur fait des photos, mademoiselle et moi cueillons une brassée de jacinthes.

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  • Second petit déjeuner en compagnie des levés, agrémenté de discussions beaucoup trop intellectuelles à mon goût pour un dimanche matin.
  • Rire comme une baleine en regardant l’Anglais et P. créer une nouvelle discipline olympique : le ping-pong avec porté d’enfant.
  • Des galettes bretonnes !
  • 2h de balade en forêt – pour les autres. Regarder l’heure qui tourne et se demander s’ils se sont perdus en chemin.
  • Guetter d’heure en heure l’épanouissement des pivoines, en bouton samedi matin, ouvertes dimanche soir.
  • Replier le lit, ranger les affaires, charger, baigner et faire dîner les petites, dire au revoir aux ânes, aux vaches, aux têtards (cherchez pas) et, accessoirement, à notre hôtesse.
  • S’offrir un McDo à 1000 calories pour faire passer la pilule du retour.
  • Se faire miauler dessus tout le reste de la soirée par un chat outré qu’on l’ait abandonné 36h avec une gamelle débordante de croquettes et un grand bol d’eau.
  • Avoir la peau qui brûle et qui tire, preuve que le soleil normand est fourbe.

3 thoughts on “Un week-end en Normandie”

  1. Magnifique week-end! Il y en a eu pour tous les goûts quoique ça manque de sieste pour moi 😉
    J’aime bien la conclusion avec le chat, créature égoïste…(mais qu’on adore)

  2. @titite : je suis bien d’accord, les chats sont vraiment des égoïstes ^^
    @Lucy : moi aussi j’ai trouvé que ça manquait de sieste ! Mais mademoiselle dormait dans notre chambre, et je ne pouvais pas aller siester en même temps qu’elle (et après ça faisait trop tard).

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