Elle a pas l’air comme ça, mais elle est froide, quand même.
Brocolis, chou-fleur et endives en juillet, même combat : l’asile culinaire.
De l’art de travailler quand le Paprika dort (ou pas…). Bon, vive les soirées de travail.
Mademoiselle accepte de lâcher ses brassards et la frite et, paf, je lui fais boire deux fois la tasse. Oups.
Composer une tenue bleu-blanc-rouge avec les moyens du bord au Paprika. Pour la Crevette, c’est mort, ou alors on fait rose-blanc pailleté-turquoise.
Oui, il fait 26° dehors, mais je persiste : elle est froide.
Tiens, la première vraie scène de cul n’apparaît qu’après la page 150. L’auteur perdrait-elle le rythme ?
Visiblement, mes histoires de secret ont touché une corde sensible.
Trois livres en deux semaines de pseudo-vacances, c’est quand même une jolie performance. En plus je raye des catégories dans le 2018 Reading Challenge.
Non, il n’y a pas de thermomètre, mais je parie qu’elle ne dépasse pas les 20°. A ce niveau-là, c’est plus de l’abnégation maternelle, c’est de la folie furieuse.
Oh, la jolie couverture brésilienne de mon deuxième roman !
En fait, Ouï FM est devenue une station dédiée à ma jeunesse. En deux trajets, on a entendu Texas, les Red Hot Chili Peppers, Bon Jovi, Mickey 3D, Eskobar et Indochine. Que des trucs antérieurs à 2003.
1,5kg de mara des bois, on va pas manquer. En même temps, elles sont à tomber.
L’Escape Game de l’Opéra… comment dire ? J’ai pu voir Marion pour la troisième fois en un mois, c’est miraculeux.
Comment ça “Danse macabre” Ghost ne date pas de 1986 mais de 2018 ? C’est encore autorisé, les solos de guitare comme ça ?
Voilà deux ans qu’on n’a pas dégivré le congélateur, au boulot (il y a bien 5cm de glace sur certaines résistances).
Allons bon, Facebook avait basculé toutes mes publications en mode privé depuis lundi.
Une éternité à remplir ma demande de dédommagement de pass Navigo pour avril et mai. Tout ça parce que la SNCF estime que j’habite toujours à Paris…