Cuisinons nos livres – S02, ep.03

Peu de cuisine cette semaine, puisqu’il a fallu refaire un tour chez le médecin lundi soir, et que je n’ai pas mangé à la maison deux autres soirs. Du coup, une seule nouvelle recette et un grand classique (et je cherche toujours des participations !). Sans transition…

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Des gnocchis de potimarron, recette reçue dans la newsletter hebdomadaire Les cahiers de 180°C il y a quelques semaines. J’étais tentée depuis un moment, mais je n’avais pas le courage de m’y mettre. Hier soir, je me suis enfin retroussé les manches. En soi, cela n’a rien de difficile, le plus pénible, c’est de former les gnocchis (d’autant plus que j’en avais fait pour un régiment et que je ne pense pas que ça serait bien conservé). En revanche, malgré leur sale tête, mes pâtes étaient très bonnes ! Assaisonnées d’une crème de parmesan et d’un soupçon de thym, c’était délicieux. A refaire, y compris pour des copains végétariens.

Sinon, mardi était férié, il fallait donc occuper Mademoiselle, d’autant qu’on avait un dîner entre amis le soir. J’ai donc refait mon brownie-qui-tue, et trois mini gâteaux pour la Crevette qui m’a aidée à mélanger la pâte.

Allez, on espère que la semaine prochaine sera plus efficace ! Et n’oubliez pas le #cuisinonsnoslivres sur Instagram.

Cuisinons nos livres – S02, ep.02

La semaine a été peu propices aux nouvelles recettes : une seule, jeudi soir. Pour le reste, je me suis reposée sur mes acquis. A ma décharge, j’ai cumulé bouclage de trad et multiples passages aux urgences pédiatriques (rien de grave, mais ça nous a pris beaucoup d’énergie). J’ai donc préparé…

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Un kedgeree indien. La recette est tirée du magazine M, auquel je suis abonnée depuis 15 jours, mais aussi du livre God save the cook, ma référence pour la cuisine britannique facile. Il s’agit d’un plat composé de riz, de haddock et d’oeufs durs, assaisonné d’une sauce au curry et aux épices ainsi que de pistaches concassées. C’était très bon ! Un peu long à faire, mais pas du tout difficile (le plus pénible est de penser à faire dessaler le poisson 2 heures avant).

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Un brownie au chocolat. Ma recette ultime en cas de manque de sucre. Ajoutez à cela un dimanche pluvieux et une Crevette à occuper, et l’après-midi s’est transformée en cours de cuisine. Record du genre, le gâteau a duré 48h.
Ma célèbre soupe de pain rassis. A l’origine, j’avais prévu de tout manger seule (je suis un peu monomaniaque, c’est devenu mon plat doudou dès qu’il fait gris/moche/humide/froid), mais Monsieur m’a rejointe et j’ai dû partager 🙂
Le gratin de potimarron de la semaine dernière : essai transformé, tout le monde a adoré. Un plat rapide et facile à faire qui convient à la petite comme aux parents, je sens qu’on va en refaire dans les mois qui viennent.

Voilà, c’est tout pour cette semaine. Vous pouvez rejoindre le mouvement sur Instagram grâce au mot-clé #cuisinonsnoslivres. A noter la première participation de S., futur mari de ma copine C.euh, qui a publié ses photos de plats beaucoup plus travaillés que les miens.
Bon appétit !

Cuisinons nos livres S02, Ep.01

Après un hiatus de fin d’été et de vacances multiples, je reprends cette série d’articles hebdomadaires. Si vous voulez me rejoindre, n’hésitez pas à utiliser le mot-clé #cuisinonsnoslivres sur Instagram (que je n’ai pas employé cette semaine).

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Dimanche soir, après pas mal d’hésitations, je me suis lancée dans la réalisation d’un bortsch (pot-au-feu russe à base de betterave). Bien évidemment, il a fait un temps magnifique ce jour-là alors que c’est clairement un plat d’hiver ou d’automne froid, mais j’étais malade, alors, hein zut. La recette est tirée de livre Les petites recettes modèles, inspiré par l’oeuvre de la comtesse de Ségur. C’était à tomber. Il en est resté juste un peu pour faire goûter à la Crevette le lendemain soir.

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Mardi, il me restait du chou, j’ai donc décidé de faire une embeurrée de chou, tiré de A la table de Marie-Antoinette, offert par ma soeur l’an dernier (même si la recette originelle était à base de chou cabus). C’est extrêmement simple bien qu’un peu long et… on s’est jetés dessus comme des morts de faim. C’est assez riche mais parfumé grâce à toutes les herbes aromatiques (et ma photo est moche).

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Jeudi, Monsieur était en déplacement, et je cherchais une idée qui 1/ soit rapide et puisse convenir à Mademoiselle comme à moi et 2/ me permette d’utiliser un des légumes qui traînait dans mon frigo. Sur une suggestion de C.euh j’ai suivi une recette de gratin de potimarron sur marmiton. Je n’ai pas eu le temps de faire gratiner pour la Crevette, mais celle-ci s’est régalée de potimarron à la crème. Quant à moi, j’ai tout mangé par gourmandise…

Sinon, j’ai célébré le retour des grands classiques de la saison, la soupe de pain (deux fois) et le cock-a-leekie (soupe poireaux-riz-poulet), déjà souvent mentionnés l’an dernier.

Et vous, il y avait quoi à manger, cette semaine ?

Fleurs de courgette farcies à la gardoise

J’adore les fleurs de courgette. D’une manière générale, j’adore les fleurs en cuisine (rose, violette, souci…), mais il n’est pas toujours facile de les accommoder en salé. En outre, trouver des fleurs de courgette en région parisienne, c’est parfois toute une histoire. Alors quand j’en ai découvert par hasard chez le primeur de notre lieu de vacances (dans le Gard, donc), j’ai décidé de les préparer avec des produits locaux.

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Pour 6 fleurs de courgette (oui, il y en a 7 sur la photo)
Un pélardon (fromage de chèvre local) frais
Des tomates séchées (entières – ça fait plus de boulot – ou en purée)
Herbes de Provence
Huile d’olive
Sel, poivre

Dans un bol, préparer une farce à base de tomates séchées écrasées/coupées en petits morceaux et de pélardon. Assaisonner selon votre goût avec des herbes de Provence, du sel et du poivre.
Oter le pistil du bout des doigts (attention, c’est un peu délicat).
Farcir les fleurs avec une petite cuillère, ou du bout des doigts, en veillant à ne pas les déchirer.
Faire chauffer de l’huile dans une grande poêle, puis faire dorer les fleurs 2-3 minutes de chaque côté.
Égoutter sur du papier absorbant et servir immédiatement.

Cuisinons nos livres #10

Cette semaine, j’ai un peu fait le service minimum. Entre le pic de chaleur de ces derniers jours, les courses plutôt restreintes que j’ai faites dimanche et les sorties diverses et variées, quand je me suis mise en cuisine, je suis allée au plus simple.

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Dimanche soir, à force de harcèlement, Monsieur a préparé des frites à la Crevette, selon la recette du Gastronogeek. Du coup, pour les grands, nous avons ajouté le Biff Tannen burger (sans le pain) qu’elles sont censées accompagner. Comme toujours c’était très bon (et copieux), et j’ai fini le reste le lundi midi.
Ce n’est pas vraiment une recette neuve vu que j’ai déjà dû en parler ici, mais c’est devenu un classique.

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Mardi, j’ai décrété que ça suffisait les petits pots, j’allais préparer des vrais dîners à Mademoiselle. Jusqu’à présent, la flemme et quelques phases de refus bien sentis m’avaient échaudées, mais avec un peu d’organisation c’est jouable. J’avais des petits pois dans le congélateur et un fond de riz arborio, j’ai donc préparé un risi et bisi (riz aux petits pois), d’après mon nouveau livre de chevet, Le meilleur de la cuisine italienne. C’est très simple, pas très long et délicieux. Bon, la Crevette a trié les petits pois, parce que faut pas exagérer, mais c’était une réussite.
Pour le dîner des grands, il y avait des brochettes de canard en prime.

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Mercredi – je n’ai pas fait de photo – j’ai fait cuire une aubergine selon la recette de Guillaume Long. C’est facile et ça change de l’habituelle ratatouille, d’autant que c’est beaucoup moins gras. Je recommande pour l’été !
Enfin hier soir, j’ai préparé le reste d’aubergine en les faisant braiser avec de la tomate (bon, j’ai triché, j’ai utilisé une sauce tomate toute prête, pas le temps, le courage ni les ingrédients de faire autrement). La recette vient du même livre que celle du riz aux petits pois, et sert théoriquement d’accompagnement. Le livre suggérait d’en faire une sauce pour pâtes courtes, et nous nous sommes régalés !

La semaine prochaine, on vide le frigo et le congélateur, alors je vais sans doute improviser avec ce qui me passe sous la main. En revanche, je prévois déjà de partir avec mon livre de cuisine italienne : ce serait dommage de ne pas profiter des délicieux fruits et légumes du sud de la France !

Cuisinons nos livres #9

Ce fut une semaine moyennement occupée. J’ai cuisiné, un peu, mais pas tant que ça pour une raison toute simple : nous n’avons pas fait le marché dimanche dernier et je n’ai pas non plus eu le temps d’y passer cette semaine, si bien que je me suis débrouillée avec le contenu du frigo.

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Lundi soir, j’ai décidé de préparer des pâtes alla norma, soit des spaghettis à la sauce tomate agrémentés de fines rondelles d’aubergine frites. La recette est bien entendu tirée du Meilleur de la cuisine italienne, qui est un peu devenu ma bible ces dernières semaines. Le livre regorge de recettes savoureuses et relativement simples, surtout pour les pâtes !
En tout cas cette fois-ci n’a pas déçu : c’était délicieux. En revanche, je n’ai pas eu le temps de faire dégorger les aubergines, si bien qu’à la cuisson la peau est devenue amère. Je me le tiens pour dit pour la prochaine fois.

Mercredi, prise de flemme, j’ai fait du riz sauté. Je vous dirais bien que j’ai suivi la recette du livre Basic cooking – La cuisine asiatique entre copains, mais ce serait mentir : la première règle de la recette du riz sauté est qu’il n’existe pas de recette. En gros, on fait revenir du riz déjà cuit avec des légumes / de la viande / de l’œuf / des assaisonnements et roulez jeunesse. Cette fois-ci, j’ai mélangé oignon, cubes de courgette et lamelles de rôti de veau, et on a tout mangé, alors que j’étais convaincue qu’il y aurait des restes.

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Jeudi soir, enfin, j’ai pris mon courage à deux mains pour tester une recette qui me faisait de l’œil depuis quinze jours. Je suis en effet abonnée aux Carnets de Delphine, une newsletter hebdomadaire de 180°C, qui propose deux ou trois recettes de saison.
Cette fois-ci, il s’agissait d’une tarte aux oignons nouveaux. Etrangement, alors que je redoutais de faire ma pâte moi-même (ça fait partie des trucs qui me terrorisent), l’opération a été facile et s’est déroulée comme prévu. En revanche, l’épluchage et la taille des deux bottes d’oignons nouveaux fut loooongue – ça a bien dû me prendre une heure, au final. Le résultat était délicieux, mais heureusement que j’avais du temps devant moi et que je m’étais mise tôt en cuisine, sans quoi on aurait dîné à 23h (j’ai une sale tendance à m’installer aux fourneaux vers 21h ces temps-ci).
Je pense refaire cette recette, mais sans doute en m’organisant mieux, voire en recrutant un commis.

Une semaine donc relativement calme, mais qui m’a permis de franchir une nouvelle étape, et d’étrenner, au passage, le cul de poule et le rouleau à pâtisserie offerts par ma sœur pour mon anniversaire.

Cuisinons nos livres #8

Après plusieurs semaines de calme (presque) plat, me revoici aux fourneaux ! Les occasions furent nombreuses cette semaine et, si j’ai ressorti des recette éprouvées, j’en ai aussi testé quelques-unes. Voilà ce que ça donne :

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Dimanche, au marché, j’ai été attirée par des filets de dorade, alors que je n’en fais jamais. C’est un poisson délicat, que j’aime beaucoup, mais la perspective de le cuisiner était un peu terrifiante… Finalement, j’ai réussi à dénicher une jolie recette dans La cuisine japonaise d’Emi Kazuko : la dorade en papillote de papier. Avouons-le franchement: les explications techniques pour plier une papillote sans schéma, c’est vraiment pas pour moi. Heureusement, j’avais une explications avec photos dans le livre Papillotes de Marabout et je m’en suis sortie.
C’est une recette assez simple, dans laquelle le poisson cuit avec des ciboules et du citron vert, avant d’être assaisonné d’un trait de shôyu au moment de servir. C’était délicieux, le poisson était très fin et se mangeait sans problème avec les baguettes. A refaire, surtout si on a du monde.

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Mercredi, nous recevions Barry, un ami australo-canadien rencontré au Japon (ouais, c’est compliqué), et aussi foodista que moi. Du coup, il fallait mettre les petits plats dans les grands, tout en gardant en tête qu’il faisait 30°… J’ai fini par préparer tout un tas de petites choses froides à grignoter, dont mes célèbres fraises au vin rouge, ainsi qu’un concombre glacé au miel et au thym. La recette est tirée du premier numéro de 180°C et est très simple à réaliser. Il s’agit d’une simple soupe froide de concombre assaisonnée. Facile, rapide et frais, idéal pour l’été, et ça en met quand même plein la vue.

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Jeudi, il fallait finir le contenu du frigo, parce que nous allons très peu manger à la maison ce week-end et que je ne voulais pas perdre mes légumes. Du coup, en puisant dans le livre Le meilleur de la cuisine italienne, j’ai choisi de préparer une frittata de courgettes (une grosse omelette, en quelque sorte). C’était très bon, même si j’ai raté ma manœuvre de retournement…

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Pour conclure, et parce que je voyais venir le moment où ils ne seraient plus bon, j’ai utilisé nos abricots pour préparer un mi-cuit mi-cru au basilic, dont la recette se trouvait dans le troisième numéro de 180°C. A une compote d’abricots, on ajoute des dés de fruit frais et un peu de basilic pour assaisonner. C’est très facile, là encore, et relativement rapide (une vingtaine de minutes). Comme on ajoute du sucre, on peut maîtriser l’acidité des fruits, qui est encore problématique à cette époque de l’année.
En tout cas, c’était très bon, on a tout mangé et on en refera sans doute pendant les vacances.

Voilà pour moi. Cette semaine, Sunalee et Ioionette ont participé au challenge.

Cuisinons nos livres #7

Cette semaine fut très calme, notamment à cause de notre escapade à Provins : je n’ai pas pu faire le marché, j’ai donc dû composer avec un frigo globalement vide et un congélateur rempli de trucs plus ou moins inspirants. Et puis on est sortis, aussi, ça n’aide pas à cuisiner.

C est pas photogénique, mais c est bon
C’est pas photogénique, mais c’est bon

Heureusement, mercredi soir, Ioionette et SonMari sont venus dîner. J’ai préparé des brochettes du barbare (onglet de bœuf mariné) d’après le livre Gastronogeek. Ce n’était pas la première fois que j’en faisais – c’est devenu un plat régulier à la maison – et je pense même en avoir déjà préparé pour nos invités, mais c’est très facile et très bon. Je sers ça avec du riz blanc à la vapeur, c’est idéal pour finir la sauce !

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En guise de dessert, j’ai ressorti les désormais classiques fraises au vin rouge. Rapide, facile, parfumé, frais sophistiqué tout en étant simple… c’est vraiment le dessert idéal, que l’on soit seuls ou que l’on ait du monde à régaler. Le plus long, c’est de laver les fraises !
Cette fois-ci et la précédente, nous avons utilisé un côtes de Gascogne rouge qui se mariait aussi très bien avec la viande.

Voilà pour cette maigre semaine. Promis, demain je fais les courses, et la semaine prochaine, je vous en révèle davantage !

Cuisinons nos livres #6

Après une semaine de vacances à mettre les pieds sous la table, il a bien fallu se remettre aux fourneaux – j’ai l’air de me plaindre, mais en réalité cela me manquait un peu. Même s’il faisait un temps à préparer des soupes, j’ai tenté de faire contre mauvaise fortune bon cœur et d’inviter le soleil à notre table.

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Lundi soir, je souhaitais préparer des maquereaux en marinade japonaise. Sauf que je n’avais plus de vinaigre de riz. Puis j’ai décidé de me rabattre sur une recette à base d’épices – encore raté, il me manquait du cumin, ingrédient principal. Un peu perdue, j’ai fini par jeter mon dévolu sur une recette japonaise de maquereau cuit dans un bouillon au miso, d’après le livre 「基本の和食」, tome 1, qui est une de mes bibles en matière de cuisine nippone.
C’était relativement simple et, surtout, délicieux. La recette demandait des salsifis, mais je n’en avais pas (je ne crois même pas en avoir déjà mangé…) et les ai remplacés par des asperges sauvages.

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Mardi, pour remonter le moral de Monsieur qui s’est retrouvé bloqué gare Montparnasse à cause d’une histoire de glissement de terrain, j’ai sorti mon nouveau livre fétiche, Le meilleur de la cuisine italienne. Après avoir un peu hésité, mon choix s’est porté sur une recette de spaghettis à l’ail et au piment, qui serait, en plus, idéale pour absorber le trop-plein d’alcool.
Simple, rapide, facile, cette recette a tout bon. A refaire, et souvent.

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Enfin, hier soir, j’ai décidé d’essayer une recette de tarte à la courgette tirée du cinquième numéro de 180°C, garantie “Sans Kiri, ni Saint-Morêt”, et qui me faisait de l’œil depuis un moment. C’est relativement rapide à préparer, mais il ne faut pas hésiter à faire 40 à 45mn : l’appareil est très liquide et, quand nous avons sorti la quiche du four une première fois, celui-ci a commencé à couler.
En revanche, le résultat était très bon et onctueux. Je retenterai sans doute, peut-être en fin de saison…

De son côté, Monsieur a préparé de la limonade d’après la recette proposée par le 180°C n°1 – celui-là même qui proposait la recette d’essence de citron vert testée (et approuvée) il y a quinze jours. La limonade est très bonne, mais un peu trop sucrée à mon goût.

Je conclus en rappelant les dernières participations au challenge chez Sunalee, Lucy, Pauline ou Discretissime.

Cuisinons nos livres #5

Je profite de ce billet pour réunir les recettes des deux dernières semaines. En effet, je n’ai pas été très productive la première semaine – une seule recette nouvelle – mais j’ai mis à profit un de mes cadeaux d’anniversaire : un (gros) livre de cuisine italienne. Monsieur s’est de nouveau joint à moi, vous retrouverez sa réalisation en fin d’article.

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Juste avant notre départ en Normandie, j’ai préparé ce “myrchoco”, fondant au chocolat aux myrtilles, dont j’ai trouvé la recette dans le 180°C n°7. Outre que c’est facile et plutôt rapide à faire (le plus long, c’est la cuisson), le résultat était délicieux. J’ai emporté le gâteau chez Florine, et je suis rentrée avec un plat vide.

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Cette semaine, j’ai testé deux recettes tirées de l’ouvrage Cuisine italienne – 200 recettes, offert par ma mère. D’abord des pâtes aux courgettes, olives et dés de thon. Il fallait théoriquement utiliser des farfalle mais j’ai remplacé par des fusili. C’était à tomber : un peu de préparation (couper le tout en dés et faire revenir avec les épices), mais l’effort, somme toute minime, en vaut la peine.

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Seconde recette : des fraises au vin rouge. Pour un peu c’est trop facile : des fraises, du sucre, du vin rouge, on fait macérer le tout au moins une heure au réfrigérateur, on sert avec un peu de menthe, et hop. A tomber. Du coup, il me restait des fraises, j’en ai refait mercredi soir, et c’était toujours aussi bon.

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Enfin, Monsieur a décidé d’utiliser les citrons verts rapportés de Normandie avant que ceux-ci ne soient plus bons. Sur une suggestion de ma part, il a préparé une essence de citron vert, dont la recette était proposée dans le premier numéro de 180°C (encore eux). il faut faire macérer du jus et des zestes de citron vert dans du rhum avec du sucre, avant de filtrer et d’utiliser, par exemple pour parfumer un grog ou une pâte à gâteau. Nous en avons goûté une gorgée hier soir, et 1/ c’est fort 2/ c’est bon.

La semaine prochaine, pas de recette pour cause de vacances. En attendant, vous pouvez nous suivre sur Instagram grâce aux hashtags #cuisinonsnoslivres et #letscookourbooks.