On déménage et ça urge (1)

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En début d’année, je mentionnais que l’Anglais et moi prévoyions de déménager pour de plus vertes prairies un appartement plus grand. Nous avons signé (eh oui, à nous les joies de la propriété immobilière), lancé les travaux, et nous sommes fixé un déménagement (léger, hein, on reste dans la même ville, et dans le même secteur) autour de fin mai/début juin.
Le week-end dernier, nous avons appris avec un peu de surprise que nous pourrions emménager… avec 15 jours d’avance par rapport à la date prévue. Si c’est une bonne nouvelle en soi, nous sommes un peu bousculés dans notre organisation, puisque très clairement, à part contacter les déménageurs pour des devis, nous n’avions encore rien fait. Dès lundi et les enfants remis à l’école, nous nous sommes retroussé les manches.

Cette semaine nous avons:

  • Rencontré les déménageurs pour un devis, choisi celui qui nous inspirait le plus confiance.
  • Donné des tonnes d’affaires de puériculture à une association d’aide aux mères en difficultés (vêtements de la naissance à 5 ans, chaise haute, poussette, baignoire pour bébé… et j’en passe).
  • Commandé la nouvelle télé. C’est peut-être un détail, et certains nous lanceront peut-être des tomates pourries parce qu’on a choisi d’avoir la télé, mais notre ancien écran a… 12 ans. Et s’il fonctionne encore correctement, il est un peu petit.
  • Pris rendez-vous chez Orange et calé l’installation de la fibre dans notre futur appartement. Déjà qu’en tant que particuliers c’est ultra pénible de ne pas avoir Internet à domicile, mais quand on est indépendant et qu’on travaille de chez soi, c’est carrément l’angoisse. Rendez-vous est pris pour la veille de l’emménagement.
  • Contacté l’ébéniste pour enfin faire réparer la table basse dont une partie du cadre est descellée depuis au moins deux ans.
  • Réceptionné la commande de papier peint avec une semaine d’avance (on était sidérés parce qu’on l’a appris quand le livreur s’est trompé d’adresse).
  • Trié des vêtements en tas “à donner”, “à recycler en ressourcerie”, “à recycler”, “à garder”, et dire adieu à toutes mes jolies robes et jupes accumulées ces dix dernières années.
  • Râlé en ratant l’entrée de la N118 pour rejoindre la déchetterie et jeté une foule d’objets en souffrance (notamment tous les trucs qui partent d’ordinaire à la benne à produits dangereux qui ne passe plus depuis le premier confinement).
  • Trié les DVD, les jeux vidéos et les CD, en redécouvrant parfois des pépites oubliées (souvent à juste titre).
  • Eté prévenus d’un dégât des eaux dans les parties communes un 1er mai alors que le plombier de la copro n’intervient pas les week-ends et jours fériés…
  • Géré un Paprika grognon puis amorphe puis fiévreux, et donc probablement HS pour l’école demain, alors que bien entendu la journée s’annonce particulièrement chargée une fois encore.

Chroniques du confinement – Prendre la pose

La lassitude commence à se faire sentir, et notre patience à l’égard des enfants (déjà pas immense) s’amenuise. Après quelques orages en matinée, nous avons réussi à ramener un semblant de sérénité, en espérant que cela dure.

Le Paprika en tenue de camouflage (photo de Monsieur)

Parce qu’il est évident que ça va durer, et davantage que ce qu’on nous avait annoncé à l’origine (j’avoue, je table depuis le début sur un fin de confinement début mai au plus tôt). Du coup, on met en place quelques stratégies…

  • Comme tout le monde, nous avons cédé à la mode des apéros Skype. Sauf qu’on fait plutôt des goûters Skype, avec la famille ou les copains de classe. Gros succès – et puis ça permet de parler avec des adultes, parce que les enfants désertent au bout de quelques minutes.
  • Quand la grande travaille, on essaie de mettre Junior sur une activité manuelle à proximité, comme ça il est dans un rythme un peu similaire.
  • Nous avons sacrifié une partie de notre santé mentale et mettons en boucle presque toute la journée des chansons pour enfants, en particulier un CD d’une vingtaine de minutes. A la fin du confinement, je me fais un concert de Rammstein pour me nettoyer les tympans.
  • Cet après-midi, l’Anglais a installé son studio, sorti tous les déguisements des enfants, et les a photographiés dans toutes leurs tenues. Même le Paprika s’est amusé, ça les a occupés une bonne heure.

Après, je jette aussi un voile pudique sur les paillettes éparpillées dans tout le salon, la pâte à modeler collée aux meubles, les peintures de guerre au feutre et les différends autour du lave-vaisselle.
Good night, and good luck.

Une semaine… #71

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Oui, c’est un long hiatus. J’ai pas eu Internet, puis j’ai eu la flemme, puis… Bref, nous revoici pour les bilans de la semaine, pourvu que ça dure.

  • Après avoir assisté à une démonstration de danse sur glace réalisée par deux enfants (8-9 ans à vue de nez), la Crevette a décidé de se mettre au patin. C’est Monsieur qui gère les allers-retours à la patinoire.
  • Sur un coup de tête et parce que j’ai envie de chocolat, je me suis mise à préparer un Pleyel. J’ai eu franchement la trouille de m’être plantée, surtout quand le mélange chocolaté a semblé trancher, mais le résultat est délicieux et se conserve très bien.
  • Banc 1 – 0 Paprika. Et c’est encore Monsieur qui gère l’aller-retour, cette fois aux urgences pédiatriques (un point de suture).
  • J’avais déjà un bon feeling avec la maîtresse de grande section, après la réunion je suis super enthousiaste (je me suis même portée volontaire pour l’intégralité des séances de piscine).
  • J’ai complètement oublié de confirmer le dej avec Elanor, qu’heureusement je peux retrouver deux jours plus tard juste avant son retour en Bretagne.
  • Pas super motivée pour le dîner, surtout après avoir poireauté près d’une heure chez la pédiatre, mais… on a bien rigolé, ça en valait la peine.
  • Depuis que George Cannon a arrêté les déjeuners pour faire uniquement boutique et salon de thé, l’ambiance est quand même moins conviviale, je trouve. Mais ça ne nous empêche pas, Cha et moi, de papoter pour rattraper six mois d’interruption des programmes.
  • Retrouver l’Anglais à la boutique de jouets, c’est un sport à part entière: il sort en retard de son rendez-vous, j’en profite pour faire des courses encombrantes et revenir à la maison tout poser, on fait nos achats, on va déjeuner, on vaque à nos occupations, je reviens au magasin récupérer notre commande et, en arrivant à la gare, je me rends compte qu’on a oublié un truc. Pour Noël, on a intérêt à mieux s’organiser.
  • Monsieur s’est cru jeune, il a passé la nuit en jdr. Et rentre au moment où son fils se réveille dans une quinte de toux.
  • Pour ce soir, j’ai fait une espèce de pot-au-feu. Il fait 28°. Puis on croise des amis au parc qui nous proposent de venir manger une pizza chez eux. Deal.
  • Donc on a couché les enfants super tard, et il y en a un qui est réveillé à 6h30 (le moins autonome des deux, évidemment). Achevez-moi.
  • On a frôlé la catastrophe au moment de souffler la bougie, et doudou a eu chaud aux fesses, mais on a fêté l’anniversaire du Paprika (enfin, pour la première fois cette année, parce que c’est pas fini).

Une semaine… #39

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  • On fête Noël dimanche, et je n’ai rien pour l’Anglais ni pour le Paprika. C’est la lose.
  • Lundi soir, 20 heures. Mon cerveau a trouvé particulièrement urgent de préparer des kipferl pour la première fois de ma vie. Il y a des fois où je me fatigue toute seule.
  • N’empêche qu’ils sont à tomber – et que j’ai réalisé un beurre pommade toute seule avec mes petits bras pas trop musclés et sans robot ménager.
  • 39°8 de fièvre, ça  sent mauvais.
  • Une longue discussion avec Anaïs pour aborder le sujet de la dysplasie et de la traction.
  • Miracle, je ne suis presque pas en retard pour le dernier cours de natation. Et malgré ce que le Doodle faisait craindre, nous sommes largement plus d’une demi-douzaine pour le désormais traditionnel pot de Noël.
  • Oh, Arte rediffuse Cyrano de Bergerac. Ce film est toujours aussi sublime. Je crois même qu’il se bonifie avec le temps.
  • L’Anglais a fait une razzia de nourriture en allant faire son shopping de Noël. Je crois qu’on a des chips à tous les parfums de la terre (mention spéciale à celles au parmesan et au basilic.
  • “Eh, j’ai trouvé le sac que je guignais, tu veux que je le prenne pour que tu me l’offres ?” “Bah oui, tant qu’à faire.” “Pour la peine, c’est toi qui fais le paquet-cadeau.”
  • Premiers pas sur la patinoire pour la Crevette. Bon, c’est pas de la vraie glace mais visiblement ça glisse autant.
  • Le spectacle-projection de Noël est pas mal du tout et la playlist s’écoute avec plaisir (même si elle est un peu trop “dance” par moments).
  • Les enfants sont couchés, on peut emballer les dix cadeaux en souffrance planqués à divers endroits de la maison. Ca nous aura pris pas loin de deux heures, cette histoire.
  • Je crois que c’est ma meilleure carbonara depuis que j’ai appris à la faire correctement.
  • “Allez, maman, on va dans la salle !” “Mais tu veux pas écouter les gens chanter avant ?” “Non !” On a donc poireauté une bonne vingtaine de minutes dans la salle du théâtre des Champs Elysées surchauffée.
  • “J’emporte les coquilles d’huître. Tout le monde a eu du foie gras et du saumon fumé ?”
  • Et Joyeux Noël, bien sûr !

To-do list de printemps : la suite

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Les vacances sont finies, qu’en est-il de ma liste de bonnes résolutions ?

  • Faire la déclaration Agessa seule et la déclaration de revenus en couple. J’en frétille d’avance, tiens.
    J’ai réussi à faire la déclaration Agessa cinq jours avant la date butoir (un exploit), et après bien des prises de tête pour savoir où ranger quoi et comment faire la différence entre le brut et le net. Oui, comme tous les ans.
    Pour les impôts, j’aurais voulu le faire le week-end dernier, mais Monsieur n’était pas là, et ça va être ultra compliqué.
  • Trier les vêtements des enfants. Il y a tout et n’importe quoi, du 3 mois au 5 ans.
    Ratage total. En fait, j’ai besoin d’un contenant dans lequel ranger tout ce bazar, et je ne l’ai pas sous la main. J’ai plein de caisses remplies de bouquins à passer au congélateur, et ça m’embête d’en racheter une ou deux alors que dans moins d’un an j’en aurai trop.
  • Trier mes sous-vêtements. L’objectif glamour par excellence (lire : jeter les culottes trop vieilles et les soutifs troués).
    Pas eu le courage. Pourtant, il y a urgence, et d’autant plus que je vais faire une séance shopping avec ma mère la semaine prochaine.
  • Ranger mon bureau (et éliminer 6 mois de poussière).
    Fait ! Même si le bordel a recommencé à s’inviter trois jours plus tard. Il me faut un caisson à tiroirs.
  • Choisir les livres que j’ai l’intention de revendre. Si la majeure partie du stock est toujours à la cave, j’ai eu quelques achats pas très inspirés, que je vais revendre pour gagner de la place (et quelques sous).
    Les quelques livres en question sont mis de côté, il ne reste plus qu’à aller les revendre. J’ai découvert que Gibert Joseph faisait ça en ligne. Ca se tente, non ?
  • Trouver une solution pour ma soirée à l’opéra (trouver un mode de garde ou revendre ma place).
    J’ai trouvé la solution, tout était calé, depuis l’heure de récupération jusqu’au tarif et aux heures de garde. Le matin même, j’étais tellement épuisée que je me suis demandé s’il ne fallait pas tout annuler. Et dans les heures qui ont suivi, la représentation a été annulée par l’Opéra de Paris pour raisons techniques. Bon bah, au moins c’est réglé.
  • Faire des tests en vue du pique-nique de la Crevette mi-mai. Parce que n’oublions pas qu’elle ne mange ni fruit, ni légume cru. (Ca va se finir avec un sandwich jambon-beurre-pain de mie et une gourde de compote.)
    J’ai lâché l’affaire, ce sera jambon-beurre-pain de mie et gourde de compote.
  • Mettre à jour ma carte vitale et rappeler l’hôpital.
    Je n’ai toujours pas rappelé l’hôpital. Je n’en ai pourtant pas pour longtemps, mais ça fait partie des trucs que je repousse pour “quand j’aurai le temps”. Ahahaha.
  • Lancer les démarches pour les papiers d’identité du Paprika. C’est pas tout ça mais les vacances d’été approchent.
    J’ai fait faire les photos d’identité, ça compte ?

En réalité, la nounou du Paprika sera en congés pendant dix jours à partir de la semaine prochaine. Comme je n’aurai pas de trains non plus (la blague), je vais pouvoir m’occuper des corvées administratives restantes (j’ai découvert que ma carte d’identité était périmée depuis la fin avril). Enfin, j’espère.

Défi liste : les bruits que j’aime

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Très en retard, je rejoins le défi liste proposé par Zenopia. Cette fois-ci, il est question de savoir quels sont les bruits qu’on aime. Pas si facile que ça quand on y réfléchit, parce que le bruit, c’est souvent une nuisance (à titre personnel, j’ai besoin de silence pour travailler, par exemple). Mais quand même, il y a des choses qui me donnent le sourire.

  • Le souffle de la Crevette quand elle est profondément endormie.
  • Les ronronnements du chat sur mes genoux (surtout quand elle ne se fait pas les griffes sur mes cuisses en même temps…).
  • Le vent qui fait bruisser les feuilles.
  • La pluie qui tombe le soir, dans la nuit. De préférence le dimanche soir. En écoutant Tom McRae. Si, si, si, essayez voir.
  • Le tonnerre des énormes orages d’août, quand on est dans le sud (bonus : regarder les éclairs zébrer le ciel).
  • Une cloche qui retentit au loin.
  • Le bruit des vagues (mais je crois que ça fait ça à plein de gens).
  • Le silence feutré des bibliothèque.
  • Le chant des oiseaux quand il fait encore nuit ou qu’il est très tôt l’été.

10 Things I liked this week #103

La semaine a été agréablement occupée, mais je continue d’avoir des hauts et des bas. La faute à la fatigue, à la panique face au boulot qui s’entasse, au sentiment que je ne vais pas m’en sortir face aux punaises… Bref, pas la grande forme, on va dire. Néanmoins, il y avait plein de bonnes choses à retenir.

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  • Lundi, j’arrive à retrouver Isa, de passage à Paris, pour un déjeuner-balade. Alors que la pauvre trimballe son sac, je la traîne dans les boutiques jusqu’à trouver un cadeau d’anniversaire pour Monsieur.
  • Juste après, j’ai rendez-vous pour un électrocardiogramme. J’ai donc l’immense joie de vous annoncer que j’ai un cœur en béton armé.
  • Mardi, alors que je sors de mon cours de natation – on a repris ! j’en chie mais c’est génial – je reçois un mail de ma mère pour m’annoncer qu’elle a réussi à me décrocher des places pour l’opéra royal de Versailles.
  • Mercredi, nous organisons un rapide dîner en l’honneur de l’Anglais – pas le choix, il part demain. Pizzas et gâteau au chocolat, assortis de petits cadeaux.
  • Vendredi, la nounou est en congé. J’en profite pour emmener la Crevette à la Cité des Sciences pour visiter l’exposition sur les bébés animaux. Après 10minutes en compagnie d’une classe de maternelle, nous sommes seules, c’est la fête.
  • En sortant, nous rejoignons ma soeur pour déjeuner non loin du bureau.
  • Le soir, un Skype avec mon père qui dure pas loin d’une heure, et coup de fil avec ma mère de la même durée. C’était une journée placée sous le signe de la famille.
  • Samedi, ma mère garde la Crevette pour deux jours, afin de me permettre de ranger et d’aller à l’opéra. Aussitôt après leur départ, j’en profite pour… faire la sieste. Raté.
  • Le soir, je retrouve Lou² pour un dîner japonais à deux. Par un concours de circonstances invraisemblables, on finit à quatre dont trois qui enchaîneront sur la Nuit Blanche. Moi, je rentre me coucher avec une tisane…
  • Dimanche, après-midi à l’opéra avec Leen. Super moment, j’en reparle très vite !

Et vous, cette semaine ?

Icônes américaines

Ce week-end, à l’occasion de la visite parisienne de Miss Sunalee, Shermane, Malena et moi en avons profité pour faire un peu de visite culturelle. Si je n’ai pas pu les accompagner samedi, j’ai néanmoins accepté avec enthousiasme d’aller à l’exposition Icônes américaines au Grande Palais.

afficheiconesL’exposition présente des œuvres très célèbres du San Francisco Museum of Modern Art, actuellement en rénovation. L’idée est d’offrir un panorama de la création contemporaine américaine depuis l’après-guerre, en se fondant sur la collection Doris et Donald Fischer, fondateurs de la marque Gap.

Les supports sont divers : sculpture en métal, installations, toiles, dessins au crayon, mobiles… l’avantage de l’art contemporain, c’est que cela a bien souvent un côté ludique. Outre les artistes extrêmement connus comme Roy Lichtenstein ou Andy Warhol, j’en ai découvert d’autres – je suis une bille en art moderne et contemporain, c’est affligeant. Ainsi, j’ai beaucoup aimé le travail de Chuck Close, qui réalise des portraits qui, de près, sont en réalité le résultat de différentes cellules peintes individuellement pour que la nuance et le mouvement impriment du relief à l’image (exemple ci-dessous).sf_moma_0 (1)Si vous êtes myope, c’est encore mieux, vous n’avez qu’à retirer vos lunettes pour mieux voir le portrait.
J’ai également beaucoup apprécié les “wall grids” de Sol LeWitt, qui sont en réalité reproduites à même le support après une “première exposition” en galerie. Ces oeuvres sont temporaires, car effacées à la fin de chaque présentation.

En dehors de cela, j’ai trouvé l’exposition assez courte (et donc chère), malheureusement, et le manque de cartels, une fois encore, criant. Je crois malheureusement que, plus le temps passe, plus nous serons condamnés à la visite à l’audioguide ou au téléchargement de l’application de l’exposition. Si ces nouveaux moyens de (faire) découvrir l’art conviennent à beaucoup de gens, j’avoue que ce n’est pas mon fort, car j’ai une préférence pour la lecture pour suivre la réflexion de l’artiste et/ou du commissaire de l’exposition.

Icônes américaines, Grand Palais, jusqu’au 22 juin, 12€

L’état d’esprit du vendredi #2

Je ne sais pas si je vais continuer longtemps mais, pour l’instant, ça me parle bien, alors… Toujours d’après une initiative de The Postman et Fedora, voici mon état d’esprit du vendredi.

Source
Source

fatigue : bizarrement moins présente que la semaine dernière, mais toujours des réveils intempestifs
humeur : pas trop mal
estomac : lesté
condition physique : debout
esprit : ailleurs
boulot : on touche au but
reste : un peu plus d’une heure avant d’aller chercher la Crevette
penser à : commander un poulet rôti pour demain !
avis perso : pourquoi j’ai mal au crâne, d’un coup ?
message perso : Brunal, you’re the best
loulou(te) : une bougie au compteur
amitiés : électroniques
love : is in the air tonight
divers : je crois que je me suis endormie en sursaut
courses : ça n’arrête pas, je suis vraiment nulle pour m’organiser
sorties : deux visites à mon psy, ça compte ?
envie de : vacances (ça tombe bien, c’est pour bientôt)
zic : Paris en colère, de Mireille Mathieu (remerciez Brunal)
[youtube]https://youtu.be/6W6rjJjWNbw[/youtube]
Questionnaire rempli entre 16h et 19h30.

Gambettes Box – mars 2015

Samedi, alors que j’avais complètement oublié son existence, une Gambettes Box s’est matérialisée dans ma boîte aux lettres. Un peu douchée par l’expérience du mois dernier, je l’ai ouverte avec appréhension.

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Première bonne nouvelle : le changement de taille a bien été pris en compte, je suis désormais en L. Ensuite, même si les collants proposés sont, l’un noir à motifs, l’autre gris chiné, j’avoue que je suis satisfaite car, en cette fin d’hiver, la majeure partie de mon stock de collants noirs est trouée (la faute à mes gros orteils, sans doute), et j’étais en train de m’interroger sur le bien-fondé d’en racheter.
J’ai mis le noir à motifs géométriques hier, avec une robe rouge à motifs de fleurs et d’oiseaux. Étonnamment, les deux allaient très bien ensemble. Le collant était juste assez léger pour me protéger les jambes en allant au marché le matin et, même si j’aurais pu m’en passer dans l’après-midi, il est resté très confortable.

Pour le gris, je dois avouer que j’ai eu un (gros) moment d’agacement : en lisant le descriptif, il était question de… 50 Shades of Grey ! Mais va-t-on un jour nous lâcher la grappe avec ce truc ??? D’autant que le bondage avec un collant, je ne voudrais pas dire, mais ça me semble mal pratique (rien de tel qu’une ceinture… mais bon, je m’égare).
Toujours est-il que je l’ai mis ce matin, où le temps est moins ensoleillé que ce week-end… et c’est une bonne pioche ! Il est confortable et va à merveille avec ma robe verte.

Au final, la Gambettes Box a rempli son office ce mois-ci, et je poursuivrai donc mon abonnement le mois prochain. En espérant, peut-être cette fois, un peu plus de couleur.