Chat-Bouboule, chroniques d’un prédateur de salon

chat-bouboule1Après des millénaires d’évolution des espèces, le mécanisme de sélection naturelle s’échoue dans mon salon pour offrir à l’humanité un chat capable de se lécher l’arrière-train… par télépathie uniquement. Un florilège de gags consacrés au félin le plus célèbre et le plus malmené de la République-bananière-et-autoproclamée-du-Grumeauland.


Comme beaucoup, je suis une fidèle lectrice du Grumeauland, animé tous les lundis par Nathalie Jomard, et les scènes me font toujours beaucoup rire (plus jaune depuis que j’ai des enfants, bizarrement). Aussi, lorsque j’ai appris la sortie de cet album, me suis-je jetée dessus, car Chat-bouboule doit être mon personnage préféré.
On retrouve bien évidemment le style de Nathalie Jomard, des références à son blog, avec quelques apparitions en guest stars des grumeaux, c’est le même genre d’humour et chat-bouboule en prend pour son grade. Tous ceux qui ont vécu un jour avec un chat se retrouveront dans les situations décrites.
Après, ce n’est certainement pas l’album de l’année, mais on passe un bon moment, on rit, on sourit, et c’est déjà pas mal. En prime, je l’ai fait lire à l’Anglais que j’entendais rigoler tout seul dans son coin de canapé, ce qui est plutôt bon signe.

Chat-bouboule, chroniques d’un prédateur de salon, Nathalie Jomard, Michel Lafon