Cuisinons nos livres #10

Cette semaine, j’ai un peu fait le service minimum. Entre le pic de chaleur de ces derniers jours, les courses plutôt restreintes que j’ai faites dimanche et les sorties diverses et variées, quand je me suis mise en cuisine, je suis allée au plus simple.

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Dimanche soir, à force de harcèlement, Monsieur a préparé des frites à la Crevette, selon la recette du Gastronogeek. Du coup, pour les grands, nous avons ajouté le Biff Tannen burger (sans le pain) qu’elles sont censées accompagner. Comme toujours c’était très bon (et copieux), et j’ai fini le reste le lundi midi.
Ce n’est pas vraiment une recette neuve vu que j’ai déjà dû en parler ici, mais c’est devenu un classique.

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Mardi, j’ai décrété que ça suffisait les petits pots, j’allais préparer des vrais dîners à Mademoiselle. Jusqu’à présent, la flemme et quelques phases de refus bien sentis m’avaient échaudées, mais avec un peu d’organisation c’est jouable. J’avais des petits pois dans le congélateur et un fond de riz arborio, j’ai donc préparé un risi et bisi (riz aux petits pois), d’après mon nouveau livre de chevet, Le meilleur de la cuisine italienne. C’est très simple, pas très long et délicieux. Bon, la Crevette a trié les petits pois, parce que faut pas exagérer, mais c’était une réussite.
Pour le dîner des grands, il y avait des brochettes de canard en prime.

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Mercredi – je n’ai pas fait de photo – j’ai fait cuire une aubergine selon la recette de Guillaume Long. C’est facile et ça change de l’habituelle ratatouille, d’autant que c’est beaucoup moins gras. Je recommande pour l’été !
Enfin hier soir, j’ai préparé le reste d’aubergine en les faisant braiser avec de la tomate (bon, j’ai triché, j’ai utilisé une sauce tomate toute prête, pas le temps, le courage ni les ingrédients de faire autrement). La recette vient du même livre que celle du riz aux petits pois, et sert théoriquement d’accompagnement. Le livre suggérait d’en faire une sauce pour pâtes courtes, et nous nous sommes régalés !

La semaine prochaine, on vide le frigo et le congélateur, alors je vais sans doute improviser avec ce qui me passe sous la main. En revanche, je prévois déjà de partir avec mon livre de cuisine italienne : ce serait dommage de ne pas profiter des délicieux fruits et légumes du sud de la France !

Cuisinons nos livres #8

Après plusieurs semaines de calme (presque) plat, me revoici aux fourneaux ! Les occasions furent nombreuses cette semaine et, si j’ai ressorti des recette éprouvées, j’en ai aussi testé quelques-unes. Voilà ce que ça donne :

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Dimanche, au marché, j’ai été attirée par des filets de dorade, alors que je n’en fais jamais. C’est un poisson délicat, que j’aime beaucoup, mais la perspective de le cuisiner était un peu terrifiante… Finalement, j’ai réussi à dénicher une jolie recette dans La cuisine japonaise d’Emi Kazuko : la dorade en papillote de papier. Avouons-le franchement: les explications techniques pour plier une papillote sans schéma, c’est vraiment pas pour moi. Heureusement, j’avais une explications avec photos dans le livre Papillotes de Marabout et je m’en suis sortie.
C’est une recette assez simple, dans laquelle le poisson cuit avec des ciboules et du citron vert, avant d’être assaisonné d’un trait de shôyu au moment de servir. C’était délicieux, le poisson était très fin et se mangeait sans problème avec les baguettes. A refaire, surtout si on a du monde.

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Mercredi, nous recevions Barry, un ami australo-canadien rencontré au Japon (ouais, c’est compliqué), et aussi foodista que moi. Du coup, il fallait mettre les petits plats dans les grands, tout en gardant en tête qu’il faisait 30°… J’ai fini par préparer tout un tas de petites choses froides à grignoter, dont mes célèbres fraises au vin rouge, ainsi qu’un concombre glacé au miel et au thym. La recette est tirée du premier numéro de 180°C et est très simple à réaliser. Il s’agit d’une simple soupe froide de concombre assaisonnée. Facile, rapide et frais, idéal pour l’été, et ça en met quand même plein la vue.

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Jeudi, il fallait finir le contenu du frigo, parce que nous allons très peu manger à la maison ce week-end et que je ne voulais pas perdre mes légumes. Du coup, en puisant dans le livre Le meilleur de la cuisine italienne, j’ai choisi de préparer une frittata de courgettes (une grosse omelette, en quelque sorte). C’était très bon, même si j’ai raté ma manœuvre de retournement…

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Pour conclure, et parce que je voyais venir le moment où ils ne seraient plus bon, j’ai utilisé nos abricots pour préparer un mi-cuit mi-cru au basilic, dont la recette se trouvait dans le troisième numéro de 180°C. A une compote d’abricots, on ajoute des dés de fruit frais et un peu de basilic pour assaisonner. C’est très facile, là encore, et relativement rapide (une vingtaine de minutes). Comme on ajoute du sucre, on peut maîtriser l’acidité des fruits, qui est encore problématique à cette époque de l’année.
En tout cas, c’était très bon, on a tout mangé et on en refera sans doute pendant les vacances.

Voilà pour moi. Cette semaine, Sunalee et Ioionette ont participé au challenge.

Cuisinons nos livres #7

Cette semaine fut très calme, notamment à cause de notre escapade à Provins : je n’ai pas pu faire le marché, j’ai donc dû composer avec un frigo globalement vide et un congélateur rempli de trucs plus ou moins inspirants. Et puis on est sortis, aussi, ça n’aide pas à cuisiner.

C est pas photogénique, mais c est bon
C’est pas photogénique, mais c’est bon

Heureusement, mercredi soir, Ioionette et SonMari sont venus dîner. J’ai préparé des brochettes du barbare (onglet de bœuf mariné) d’après le livre Gastronogeek. Ce n’était pas la première fois que j’en faisais – c’est devenu un plat régulier à la maison – et je pense même en avoir déjà préparé pour nos invités, mais c’est très facile et très bon. Je sers ça avec du riz blanc à la vapeur, c’est idéal pour finir la sauce !

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En guise de dessert, j’ai ressorti les désormais classiques fraises au vin rouge. Rapide, facile, parfumé, frais sophistiqué tout en étant simple… c’est vraiment le dessert idéal, que l’on soit seuls ou que l’on ait du monde à régaler. Le plus long, c’est de laver les fraises !
Cette fois-ci et la précédente, nous avons utilisé un côtes de Gascogne rouge qui se mariait aussi très bien avec la viande.

Voilà pour cette maigre semaine. Promis, demain je fais les courses, et la semaine prochaine, je vous en révèle davantage !

Cuisinons nos livres #6

Après une semaine de vacances à mettre les pieds sous la table, il a bien fallu se remettre aux fourneaux – j’ai l’air de me plaindre, mais en réalité cela me manquait un peu. Même s’il faisait un temps à préparer des soupes, j’ai tenté de faire contre mauvaise fortune bon cœur et d’inviter le soleil à notre table.

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Lundi soir, je souhaitais préparer des maquereaux en marinade japonaise. Sauf que je n’avais plus de vinaigre de riz. Puis j’ai décidé de me rabattre sur une recette à base d’épices – encore raté, il me manquait du cumin, ingrédient principal. Un peu perdue, j’ai fini par jeter mon dévolu sur une recette japonaise de maquereau cuit dans un bouillon au miso, d’après le livre 「基本の和食」, tome 1, qui est une de mes bibles en matière de cuisine nippone.
C’était relativement simple et, surtout, délicieux. La recette demandait des salsifis, mais je n’en avais pas (je ne crois même pas en avoir déjà mangé…) et les ai remplacés par des asperges sauvages.

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Mardi, pour remonter le moral de Monsieur qui s’est retrouvé bloqué gare Montparnasse à cause d’une histoire de glissement de terrain, j’ai sorti mon nouveau livre fétiche, Le meilleur de la cuisine italienne. Après avoir un peu hésité, mon choix s’est porté sur une recette de spaghettis à l’ail et au piment, qui serait, en plus, idéale pour absorber le trop-plein d’alcool.
Simple, rapide, facile, cette recette a tout bon. A refaire, et souvent.

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Enfin, hier soir, j’ai décidé d’essayer une recette de tarte à la courgette tirée du cinquième numéro de 180°C, garantie “Sans Kiri, ni Saint-Morêt”, et qui me faisait de l’œil depuis un moment. C’est relativement rapide à préparer, mais il ne faut pas hésiter à faire 40 à 45mn : l’appareil est très liquide et, quand nous avons sorti la quiche du four une première fois, celui-ci a commencé à couler.
En revanche, le résultat était très bon et onctueux. Je retenterai sans doute, peut-être en fin de saison…

De son côté, Monsieur a préparé de la limonade d’après la recette proposée par le 180°C n°1 – celui-là même qui proposait la recette d’essence de citron vert testée (et approuvée) il y a quinze jours. La limonade est très bonne, mais un peu trop sucrée à mon goût.

Je conclus en rappelant les dernières participations au challenge chez Sunalee, Lucy, Pauline ou Discretissime.

Cuisinons nos livres #5

Je profite de ce billet pour réunir les recettes des deux dernières semaines. En effet, je n’ai pas été très productive la première semaine – une seule recette nouvelle – mais j’ai mis à profit un de mes cadeaux d’anniversaire : un (gros) livre de cuisine italienne. Monsieur s’est de nouveau joint à moi, vous retrouverez sa réalisation en fin d’article.

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Juste avant notre départ en Normandie, j’ai préparé ce “myrchoco”, fondant au chocolat aux myrtilles, dont j’ai trouvé la recette dans le 180°C n°7. Outre que c’est facile et plutôt rapide à faire (le plus long, c’est la cuisson), le résultat était délicieux. J’ai emporté le gâteau chez Florine, et je suis rentrée avec un plat vide.

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Cette semaine, j’ai testé deux recettes tirées de l’ouvrage Cuisine italienne – 200 recettes, offert par ma mère. D’abord des pâtes aux courgettes, olives et dés de thon. Il fallait théoriquement utiliser des farfalle mais j’ai remplacé par des fusili. C’était à tomber : un peu de préparation (couper le tout en dés et faire revenir avec les épices), mais l’effort, somme toute minime, en vaut la peine.

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Seconde recette : des fraises au vin rouge. Pour un peu c’est trop facile : des fraises, du sucre, du vin rouge, on fait macérer le tout au moins une heure au réfrigérateur, on sert avec un peu de menthe, et hop. A tomber. Du coup, il me restait des fraises, j’en ai refait mercredi soir, et c’était toujours aussi bon.

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Enfin, Monsieur a décidé d’utiliser les citrons verts rapportés de Normandie avant que ceux-ci ne soient plus bons. Sur une suggestion de ma part, il a préparé une essence de citron vert, dont la recette était proposée dans le premier numéro de 180°C (encore eux). il faut faire macérer du jus et des zestes de citron vert dans du rhum avec du sucre, avant de filtrer et d’utiliser, par exemple pour parfumer un grog ou une pâte à gâteau. Nous en avons goûté une gorgée hier soir, et 1/ c’est fort 2/ c’est bon.

La semaine prochaine, pas de recette pour cause de vacances. En attendant, vous pouvez nous suivre sur Instagram grâce aux hashtags #cuisinonsnoslivres et #letscookourbooks.

Cuisinons nos livres #4

Je n’ai pas été inactive, cette semaine, et j’avoue que ce fut un plaisir ! Encouragée par Monsieur qui profite de mes bons petits plats et m’encourage avec ses cocktails, je me suis retroussé les manches.

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Dimanche soir, j’ai réalisé la tarte revisitée de Martha Kent, tiré du Gastronogeek-qu’on-ne-présente-plus. Il s’agit en fait d’une tarte tatin à la pomme et aux abricots, agrémentée de noisettes et d’amandes. C’est délicieux (quoi qu’un peu sucré à mon goût). En tout cas, elle a disparu en deux repas, et l’Anglais ne s’est pas fait prier pour la finir.

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Le même soir – le dimanche est jour de marché, je suis donc plus efficace aux repas qui suivent – j’ai préparé du sabre au four selon la recette de 180°C n°3, déjà testée l’an dernier. Le poisson est cuit avec des pommes de terre et des tranches de chorizo pour le relever. Même si je ne suis pas super fan du sabre, je dois admettre que cette façon de le cuisiner l’améliore considérablement. Seul point noir : ça a senti le poisson à la maison pendant deux jours, malgré l’aération et les bougies parfumées.

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Enfin, lundi soir, j’ai préparé les “pommes de terre du missionnaire” du dernier numéro de 180°C (le 7 si vous suivez un peu – celui qui s’est matérialisé tout seul dans ma boîte aux lettres). C’est une recette archi facile, régressive et drôlement bonne : des pommes de terre au lard au four un peu améliorées. Une vraie tuerie. Comme il me restait du lard fumé pendant le séjour londonien de Monsieur, j’en ai refait jeudi soir.

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L’Anglais, quant à lui, a ressorti ses grimoires – à savoir le Livre des potions Gastronogeek – pour me préparer un Crocodile Island, cocktail inspiré de Hook : une sorte mojito amélioré à la cannelle et au tonic. Moi qui trouve le mojito d’ordinaire trop sucré, laissez-moi vous dire que j’ai bu celui-ci comme du petit lait. C’est très, très bon. J’attends de pied ferme que Monsieur renouvelle l’expérience.

Pour le reste, ces derniers jours, j’ai vu passer les participations d’Isa, Sunalee et Discretissime, notre nouvelle venue.

Cuisinons nos livres #3

Cette semaine a été assez peu productive. En cause : un week-end loin de la maison, plusieurs sorties et, surtout, une Crevette à demeure, ce qui m’a quand même pas mal vidée de mon énergie. J’ai réussi à cuisiner des choses plus ou moins neuves une seule fois. J’espère que la semaine prochaine sera plus productive !

Mardi soir, j’ai donc refait encore une fois la soussoupe de radis noir de Guillaume Long (en plein mois d’avril…). Je botte un peu en touche parce que j’ai déjà réalisé cette recette plusieurs fois dans l’hiver, mais j’ai introduit une nouveauté : il me restait du fond de lapin (bouillon de cuisson) de vendredi et je m’en suis servie pour faire cuire les légumes. C’était une bonne idée, car ça a ajouté un goût à la soupe. A refaire à l’occasion.

Betterave

Pour suivre, j’ai préparé une tarte à la betterave dont j’avais donné la recette l’an dernier sur le blog. Malheureusement, je n’ai pas trouvé de chèvre frais dans mon supermarché, et j’ai utilisé de la ricotta, ce qui a encore adouci le goût. En outre, l’une de mes betteraves n’était pas assez cuite et le mélange noisette / ricotta était trop épais, ce qui a donné un résultat franchement médiocre.
La prochaine fois que je trouve des betteraves crues, je fais un bortsch !

Et ailleurs ? Grâce au hashtage #cuisinonsnoslivres sur Instagram, on trouve des réalisations d’Isa (qui a fait un récapitulatif sur son blog), Sunalee et Pauline cette semaine.

Cuisinons nos livres #2

J’ai zappé cette rubrique la semaine dernière car je n’avais réalisé qu’une seule recette et que j’estimais que ça ne suffisait pas pour remplir un article. Mais cette semaine, je me suis rattrapée, alors même que j’ai passé deux soirées vautrée dans le canapé avec une pizza Picard. Allez, je vous montre.

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Jeudi de la semaine dernière, j’ai voulu refaire la tourte d’asperges du roman Natures mortes au Vatican de Michèle Barrière. Je l’avais déjà faite avec des petites asperges blanches, mais là j’en avais trouvé de jolies vertes. Malheureusement, j’ai eu la flemme de les éplucher et elles étaient pleines de fils ! Du coup, même si c’était bon, ce n’était ni facile ni agréable à manger. Un petit ratage, donc.

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Dimanche après-midi, emportée dans un élan incompréhensible, j’ai préparé le gâteau du marquis de Carabas (chocolat, amandes, cannelle) proposé par Christine Ferber dans son superbe ouvrage La cuisine des fées. C’est une recette que je fais régulièrement mais qui a un défaut : si on ne le recouvre pas de ganache, il rassit très vite.

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Le soir, j’ai préparé une recette du 180°C n°3 qui me faisait de l’œil depuis un moment : une côte de veau à la gremolata (servie avec des haricots verts). La gremolata, c’est une sauce italienne à base de citron, de piment et de persil. La cuisson éclabousse un peu mais je m’en suis sortie. Normalement, il fallait préparer une sauce avec les haricots verts, mais je ne suis pas fan des câpres ni de la pâte d’anchois, alors je me suis contentée de les arroser avec le reste de gremolata et c’était parfait.
Une recette à refaire prochainement.

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Enfin, hier soir, j’ai sorti mon grimoire Gastronogeek, dont je ne cesse de parler. Il y avait dedans une recette de mijoté de lapin à la bière (inspirée du Seigneur des Anneaux) qui nous tentait bien, mais que je n’avais jamais osé réaliser parce que Monsieur n’a jamais mangé de lapin pour des raisons émotionnelles. Comme nous recevions un ami qui aimait ça, je me suis lancée.
La recette n’est pas très bien expliquée (pourquoi allumer le four ? on en fait quoi ? et la garniture aromatique, on la fait revenir avec le lapin ou les pommes de terre ?  d’ailleurs, on la découpe d’une façon ou d’une autre ?), mais le résultat reste délicieux. J’ai supprimé le céleri-rave parce qu’il n’en fallait pas beaucoup et qu’on n’en trouvait pas de demi au supermarché. Il faut accompagner le ragoût de tranches de pain de campagne beurrées et parsemées d’herbes aromatiques, et il faut reconnaître que cela va bien ensemble.

Voilà pour cette semaine ! La suite samedi prochain si tout va bien.
En attendant, vous pouvez aller voir les blogs de LucySunalee et Isa, ou chercher le #cuisinonsnoslivres sur Instagram.

Cuisinons nos livres #1

Allez, ça faisait longtemps que je n’avais pas fait de compte-rendu de cuisine, je suis sûre que ça vous manquait. Cette semaine, j’ai repris doucement le chemin de la bibliothèque culinaire : j’ai envie de faire plein de choses, mais je suis parfois limitée par la fatigue ou les choses déjà prévues.

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Lundi soir, sur une demande spéciale de l’Anglais, j’ai refait des saint-jacques flambées au whisky – et je me suis encore foutu la trouille avec la flamme, même si cette fois-ci la hotte était éteinte. A l’origine, j’avais prévu de tester une recette où les coquillages étaient flambés au calvados, mais il me manquait des éléments et je n’avais pas envie de me casser la tête. C’était toujours aussi bon.
Mercredi, grande innovation : j’ai ressorti un vieux 180°C (oh, ça va !) et j’ai concocté un gratin de courgettes aux amandes. Très facile et assez rapide à faire, ce fut une grande réussite, il n’en est rien resté (on l’a accompagné de jambon de Parme, c’était parfait).

Jeudi, à l’occasion de la venue d’Isa, j’ai refait un tekone-zushi (une espèce de chirashi au poisson mariné), à base de bonite – grâces soient rendues à Monsieur Picard qui les commercialise depuis quelques semaines.
Deux fois cette semaine, j’ai préparé la soupe de pain rassis dénichée dans un vieux Régal, et que je décline très souvent : ça me permet d’écluser le pain sec et de me faire une soupe ultra réconfortante en moins d’une demi-heure, c’est tout bénef.

Promis, je reprendrai de façon plus sérieuse dans les semaines à venir. Disons que je reprends des forces pour la suite du challenge.

Challenge : Cuisinons nos livres !

Source
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Après le succès – notamment à la maison – du Winter cookbook challenge orchestré par Miss Sunalee, l’idée de poursuivre celui-ci sous un autre nom faisait son chemin.
C’est pourquoi, je vous propose donc, sous le patronage de Sunalee, de nous lancer dans un challenge “Cuisinons nos livres / Let’s cook our books” et de nous retrouver sur nos blogs ou sur Instagram avec ces deux mots-clés #cuisinonsnoslivres et #letscookourbooks

Alors, vous en êtes ?