Lors du Winter cookbook challenge orchestré par Sunalee, j’ai pu prendre réellement conscience de certaines limites de ma cuisine. Des limites notamment matérielles. Alors, si je ne peux pas avoir de fourneau à bois ni de four professionnel (étonnamment…), voici quelques petites (ou grandes) choses qui me seraient bien utiles.
- Un rouleau à pâtisserie. Parce que la bouteille, même essuyée, ça a ses limites.
- Un batteur électrique. Mon robot de cuisine n’a plus qu’une pale et, dès que je dépasse les deux blancs d’œufs, je risque le raz-de-marée de blancs en neige.
- Une poche à douille. Il est temps que je me frotte à la recette de la pâte à chou.
- Un cul de poule. Non, je ne suis pas en train d’insulter quelqu’un.
- D’autres couteaux japonais. J’en ai un que j’aime d’amour, mais je voudrais bien un ou deux autres dans des tailles différentes.
- Des emporte-pièces. Ca se sent, que j’ai envie de faire de la pâtisserie ?
- Une cocotte en fonte grand format. La mienne est parfaite pour 3-4, mais je suis régulièrement limitée. Si un jour on reçoit six personnes, y’en a deux qui mangeront une omelette.
- Un grill en fonte, aussi. Je rêve de préparer du tataki depuis longtemps, mais je n’ai jamais franchi le pas.
- Un livre de cuisine italienne. Incroyable mais vrai, malgré mes 60 et quelques bouquins, aucun d’entre eux ne traite de cuisine transalpine. Peut-être parce que j’ai peur de me frotter à la réalité du risotto. Peut-être parce que tout le monde connaît mon engouement pour la cuisine asiatique.
- Une mandoline. Pour me trancher les doigts comme les candidats de Top Chef.
En vrai, je fantasme sur un robot KitchenAid. En bleu cobalt, merci, bisous.