Où j’ai un peu la poisse, quand même

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Vendredi soir, je dois retrouver un copain de collège à Odéon pour boire un verre. J’embarque donc ma Crevette, débarque à Montparnasse et… échoue à atteindre le quai de la ligne 4. Incident technique. Soit. Deux correspondances et une suée plus tard, j’arrive à bon port. Pendant notre heure et demie de discussion, le Crevette (la chair de ma chair, l’être que j’aime le plus en ce monde, etc.) renverse ma coupe de champagne aux trois quarts pleine sur les genoux de T. Heureusement que ça tache pas.

Samedi matin, rendez-vous avec mon psy, j’arrive sur le quai de la 6 : trafic interrompu pour cause d’accident grave. Je me précipite pour attraper le bus, bien évidemment bondé un samedi matin de vacances scolaires, et arrive cahin-caha chez Tonton Sigmund.
Le soir, après un “meet & greet” pour le NaNoWriMo, cohue sur la ligne 4 (qui fonctionne), une dame devant laquelle je me tiens se lève et tient absolument à me céder sa place. Non mais ça va, j’ai accouché il y a plus de six mois, merci.

J’espère que ça va s’arrêter là car, soyons francs, je suis pas d’humeur taquine.

Information d’utilité publique (au moins)

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Je me dois de vous prévenir : ce matin, l’Anglais est parti en déplacement professionnel à l’étranger, et en avion, qui plus est. Il a déjà employé ce moyen de transport à deux reprises depuis le début de l’année :

  • En juin, il s’est retrouvé bloqué 24h supplémentaires au Portugal pour cause de grève des aiguilleurs du ciel.
  • En septembre, nous nous sommes retrouvés bloqués 24h supplémentaires à New York pour cause de grève des pilotes Air France.

Pour être honnête, je pense qu’il va se passer un truc : éruption volcanique islandaise, grève sauvage des bagagistes, tempête de neige, ou invasion extra-terrestre. Je ne saurais trop vous conseiller d’attendre la fin de la semaine, voire le début de la suivante pour partir. On n’est jamais trop prudent 😉