To-do list de printemps : la suite

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Les vacances sont finies, qu’en est-il de ma liste de bonnes résolutions ?

  • Faire la déclaration Agessa seule et la déclaration de revenus en couple. J’en frétille d’avance, tiens.
    J’ai réussi à faire la déclaration Agessa cinq jours avant la date butoir (un exploit), et après bien des prises de tête pour savoir où ranger quoi et comment faire la différence entre le brut et le net. Oui, comme tous les ans.
    Pour les impôts, j’aurais voulu le faire le week-end dernier, mais Monsieur n’était pas là, et ça va être ultra compliqué.
  • Trier les vêtements des enfants. Il y a tout et n’importe quoi, du 3 mois au 5 ans.
    Ratage total. En fait, j’ai besoin d’un contenant dans lequel ranger tout ce bazar, et je ne l’ai pas sous la main. J’ai plein de caisses remplies de bouquins à passer au congélateur, et ça m’embête d’en racheter une ou deux alors que dans moins d’un an j’en aurai trop.
  • Trier mes sous-vêtements. L’objectif glamour par excellence (lire : jeter les culottes trop vieilles et les soutifs troués).
    Pas eu le courage. Pourtant, il y a urgence, et d’autant plus que je vais faire une séance shopping avec ma mère la semaine prochaine.
  • Ranger mon bureau (et éliminer 6 mois de poussière).
    Fait ! Même si le bordel a recommencé à s’inviter trois jours plus tard. Il me faut un caisson à tiroirs.
  • Choisir les livres que j’ai l’intention de revendre. Si la majeure partie du stock est toujours à la cave, j’ai eu quelques achats pas très inspirés, que je vais revendre pour gagner de la place (et quelques sous).
    Les quelques livres en question sont mis de côté, il ne reste plus qu’à aller les revendre. J’ai découvert que Gibert Joseph faisait ça en ligne. Ca se tente, non ?
  • Trouver une solution pour ma soirée à l’opéra (trouver un mode de garde ou revendre ma place).
    J’ai trouvé la solution, tout était calé, depuis l’heure de récupération jusqu’au tarif et aux heures de garde. Le matin même, j’étais tellement épuisée que je me suis demandé s’il ne fallait pas tout annuler. Et dans les heures qui ont suivi, la représentation a été annulée par l’Opéra de Paris pour raisons techniques. Bon bah, au moins c’est réglé.
  • Faire des tests en vue du pique-nique de la Crevette mi-mai. Parce que n’oublions pas qu’elle ne mange ni fruit, ni légume cru. (Ca va se finir avec un sandwich jambon-beurre-pain de mie et une gourde de compote.)
    J’ai lâché l’affaire, ce sera jambon-beurre-pain de mie et gourde de compote.
  • Mettre à jour ma carte vitale et rappeler l’hôpital.
    Je n’ai toujours pas rappelé l’hôpital. Je n’en ai pourtant pas pour longtemps, mais ça fait partie des trucs que je repousse pour “quand j’aurai le temps”. Ahahaha.
  • Lancer les démarches pour les papiers d’identité du Paprika. C’est pas tout ça mais les vacances d’été approchent.
    J’ai fait faire les photos d’identité, ça compte ?

En réalité, la nounou du Paprika sera en congés pendant dix jours à partir de la semaine prochaine. Comme je n’aurai pas de trains non plus (la blague), je vais pouvoir m’occuper des corvées administratives restantes (j’ai découvert que ma carte d’identité était périmée depuis la fin avril). Enfin, j’espère.

Défi liste : les bruits que j’aime

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Très en retard, je rejoins le défi liste proposé par Zenopia. Cette fois-ci, il est question de savoir quels sont les bruits qu’on aime. Pas si facile que ça quand on y réfléchit, parce que le bruit, c’est souvent une nuisance (à titre personnel, j’ai besoin de silence pour travailler, par exemple). Mais quand même, il y a des choses qui me donnent le sourire.

  • Le souffle de la Crevette quand elle est profondément endormie.
  • Les ronronnements du chat sur mes genoux (surtout quand elle ne se fait pas les griffes sur mes cuisses en même temps…).
  • Le vent qui fait bruisser les feuilles.
  • La pluie qui tombe le soir, dans la nuit. De préférence le dimanche soir. En écoutant Tom McRae. Si, si, si, essayez voir.
  • Le tonnerre des énormes orages d’août, quand on est dans le sud (bonus : regarder les éclairs zébrer le ciel).
  • Une cloche qui retentit au loin.
  • Le bruit des vagues (mais je crois que ça fait ça à plein de gens).
  • Le silence feutré des bibliothèque.
  • Le chant des oiseaux quand il fait encore nuit ou qu’il est très tôt l’été.

Défi listes : ce que je n’aime pas en automne

J’emboîte le pas à titite et pomdepin, qui ont déjà repris cette suggestion de Zenopia : faire la liste, non de ce qu’on aime, mais de ce qui ne nous plaît pas dans l’automne. Alors à moi…

automne

  • L’humidité. En soi, ce n’est pas un problème, mais ça accentue la sensation de froid et je suis une sale frileuse.
  • Les rhumes et autres petits virus saisonniers, en particulier quand ils touchent la Crevette. Si j’ai du bol, j’ai une gamine qui râle pendant trois jours ; sinon, c’est deux jours de fièvre cloîtrée à la maison…
  • Le changement d’heure, et surtout l’obligation de se lever quand il fait encore nuit.
  • Remettre le chauffage. C’est-à-dire me coltiner les télécommandes de notre chauffage ultra-perfectionné auquel je ne comprends rien.
  • Les feuilles mortes un jour de pluie : idéal pour faire un salto arrière sur la chaussée.
  • Finis les fruits rouges et les tomates.
  • Le chat perd encore plus ses poils…

Bon, en vrai, j’adore l’automne, c’est une saison qui me plaît beaucoup : feuillages mordorés, air plus vif, reprise de l’activité culturelle, nouveaux livres, garde-robe (en partie) remise à neuf… sans compter le super prétexte pour boire des litres de thé.