Hier, je suis allée voir le dernier film de Michael Bay, sur un thème cher à notre enfance : les robots géants. Si, comme moi, vous avez été jeune dans les années 80, vous n’avez pas pu passer à côté du phénomène, que ce soit en dessin animé ou en figurines… Petit rappel : Transformers est un jouet dont la licence est detenue par Hasbro (crédité au générique) dont nous avons tous vu les exploits à la télé. Les gentils robots colorés se battaient contre les méchants en couleur sombre, en se transformant en toutes sortes de véhicules motorisés. Un truc de garçons, mais j’étais assez fan.
N’écoutant donc que ma nostalgie, et après avoir salivé pendant dees mois devant une bande-annonce très bien faite car ne dévoilant presque rien, je suis donc allée voir ce chef-d’oeuvre du septième art. Nan, j’plaisante.
Le film est ce qu’on en attend : un bon divertissement, un film d’action rythmé où il n’y a pas un seul temps mort, avec des effets spéciaux remarquables, quelques bonnes répliques et un scénario qui tient sur un timbre-poste. Les “autobots”, ou gentils robots, sont attachants, font des blagues et se contorsionnent pour se cacher et ne pas éveiller l’attention des parents du héros. Comme ces personnages ont appris les langues humaines sur le web, ils s’expriment dans un langage assez drôle, tel que Jazz, le spécialiste des armes qui parle comme Shwarzenegger (“Shall I terminate ?”). A noter aussi les noms marrants – Jazz, Bumblebee, Optimus Prime… – beaucoup plus inventifs que ceux des méchants – genre Starcrasher.
Et comme je ne résiste pas à la tentation :