Ca c’est du film de merde qu’il est bon ! Après plusieurs tentatives infructueuses, notamment dues à un emploi du temps quelque peu chargé, nous avons réussi à aller voir le quatrième tome de la série Terminator.
2018. Le jour du Jugement Dernier (comprendre : le soulèvement des machines qui a eu lieu à la fin du troisième volet) a eu lieu, et les humains sont obligés de se battre contre les machines pour survivre, de se cacher et de se protéger de leur mieux. Nous retrouvons John Connor, chef de la Resistance, qui, suite à une expédition dans un centre de Cyberdine, parvient à mettre la main sur les nouveaux plans du T-800. Il doit en outre faire face à la menace qui pèse sur son futur père biologique (et oui, c’est Terminator…).
C’est pas un film mémorable, mais ça se laisse très bien regarder. Le scénario sait où il va, parvient parfaitement à faire la jonction avec les trois précédents volets. Certes, on voit venir les choses, mais tout cela reste cohérent.
Bien entendu, les décors et les effets spéciaux sont très réussi, bien entendu les gentils gagnent à la fin. Mais il faut surtout noter les clins d’oeil au travers de répliques, détails, décors… La présence omniprésente de Sarah Connor, pourtant déjà morte, est bien amenée. Un bon divertissement pour vacances de neurones, en somme.
Hasta la vista, baby.
I’ll be back.
He bien, tu vois, j’hesitais a aller le voir car les critiques sont plutot mauvaises.
Enfin, au prix du billet au Japon, je vais sans doute me reserver pour Transformeeeeeeeers!