Prendre rendez-vous avec un médecin commence à être compliqué : première disponibilité de l’ophtalmo pour Monsieur, fin décembre, première disponibilité de la gynéco, courant janvier (mais finalement ce sera fin décembre parce que c’est pressé), premier créneau libre à l’hôpital pour la visite de contrôle de la Crevette, mi-février.
En arrivant au déjeuner, Angéla prononce cette phrase historique : “Pas d’alcool, je fais une détox”.
Et la chanteuse du métro qui après avoir chanté du Bourvil, se met à beugler sur “Libérée, délivrée” avec un vibrato pourri. Pourquoi tant de haine ?
On a pris les billets et le logement pour le Canada. On est pauvres.
Pour notre anniversaire de rencontre, l’Anglais nous a acheté un junmai daiginjô (saké de très bonne qualité) et un shôchu (alcool distillé) au sésame grillé. A la vôtre !
Et puis il a aussi fait les courses au supermarché asiatique. On va pas manquer de nouilles, c’est évident.
Je ne sais pas si cette comparaison entre les seins de l’héroïne et des pêches mouillées par la pluie est très heureuse… En tout cas, elle n’ai rien d’érotique.
Vers la fin de la réunion parents-profs, la maîtresse nous informe qu’elle fera un cycle sur le moyen-âge qui se conclura à Provins. D’un côté c’est cool, de l’autre je redoute les poncifs à la noix. Suspense.
Alors qu’on reçoit Gni et L. (pas celle-là, l’autre) pour l’apéro, Florine puis V. arrivent avec… une semaine d’avance. On a trouvé encore plus crevés que nous, dis donc.
Tiens, l’administration a encore décidé de me faire ch***. Et n’a rien compris à ma situation, comme d’hab.
Qu’on m’explique comment je m’écroule à 22h30 alors que la journée n’a pas été particulièrement fatigante et qu’on n’a qu’un seul gamin ce week-end.
Je tente la recette des crinkle cookies de Caro from Woodland. C’est une tuerie (et ça cale).
J’appréhende un peu le séjour à Toronto, mais j’ai quand même ressorti mon Lonely Planet avec un frisson d’impatience. Comme quoi les voyages me font toujours de l’effet.