On fête Noël dimanche, et je n’ai rien pour l’Anglais ni pour le Paprika. C’est la lose.
Lundi soir, 20 heures. Mon cerveau a trouvé particulièrement urgent de préparer des kipferl pour la première fois de ma vie. Il y a des fois où je me fatigue toute seule.
N’empêche qu’ils sont à tomber – et que j’ai réalisé un beurre pommade toute seule avec mes petits bras pas trop musclés et sans robot ménager.
39°8 de fièvre, ça sent mauvais.
Une longue discussion avec Anaïs pour aborder le sujet de la dysplasie et de la traction.
Miracle, je ne suis presque pas en retard pour le dernier cours de natation. Et malgré ce que le Doodle faisait craindre, nous sommes largement plus d’une demi-douzaine pour le désormais traditionnel pot de Noël.
Oh, Arte rediffuse Cyrano de Bergerac. Ce film est toujours aussi sublime. Je crois même qu’il se bonifie avec le temps.
L’Anglais a fait une razzia de nourriture en allant faire son shopping de Noël. Je crois qu’on a des chips à tous les parfums de la terre (mention spéciale à celles au parmesan et au basilic.
“Eh, j’ai trouvé le sac que je guignais, tu veux que je le prenne pour que tu me l’offres ?” “Bah oui, tant qu’à faire.” “Pour la peine, c’est toi qui fais le paquet-cadeau.”
Premiers pas sur la patinoire pour la Crevette. Bon, c’est pas de la vraie glace mais visiblement ça glisse autant.
Le spectacle-projection de Noël est pas mal du tout et la playlist s’écoute avec plaisir (même si elle est un peu trop “dance” par moments).
Les enfants sont couchés, on peut emballer les dix cadeaux en souffrance planqués à divers endroits de la maison. Ca nous aura pris pas loin de deux heures, cette histoire.
Je crois que c’est ma meilleure carbonara depuis que j’ai appris à la faire correctement.
“Allez, maman, on va dans la salle !” “Mais tu veux pas écouter les gens chanter avant ?” “Non !” On a donc poireauté une bonne vingtaine de minutes dans la salle du théâtre des Champs Elysées surchauffée.
“J’emporte les coquilles d’huître. Tout le monde a eu du foie gras et du saumon fumé ?”