Bon, cette semaine, je ne vais même pas faire semblant d’antidater mon article, je reconnais volontiers mon retard. En cause, un épuisement accablant suite aux trois jours de Salon du Livre – et des deux semaines qui l’ont précédé et où je ne me suis guère ménagée. C’était une chouette semaine, on a fait des choses sympas et j’ai pu profiter de la présence de Monsieur à la maison, même si on travaillait tous les deux.
- J’ai déjeuné avec ma copine Isa pour la première fois depuis plusieurs mois, et j’ai passé un très agréable moment.
- Nous avons emmené la Crevette rencontrer la directrice de sa future école maternelle et visiter les locaux. Bilan: Mademoiselle ne voulait plus repartir, hypnotisée par le toboggan dans la cour.
- Jeudi, un déjeuner avec C.euh chez George Cannon et une après-midi entre copines nous ont permis de rattraper plein de discussions en retard et de ragots, bien qu’on discute sur Gmail toutes les semaines.
- Le soir, l’Anglais a été héroïque : après 25mn à tourner sous une pluie battante sans trouver de place de parking, il m’a déposée à l’inauguration de Livre Paris et a attendu deux heures que je finisse mes mondanités pour me raccompagner à la maison. Je crois qu’il mérite une médaille.
- En plus, j’ai rencontre Thibaud Villanova, à l’origine du concept Gastronogeek, et j’ai pu lui dire tout le bien que je pensais de son travail *instant fangirl*
- Vendredi, déjeuner entre auteurs dans un délicieux restaurant japonais qui m’a rappelé bien des souvenirs (l’Anglais et moi le fréquentons depuis son ouverture car nous habitions à côté).
- Nous avons organisé une soirée pour fêter “officiellement” la fin des punaises. Si les gens ne se sont pas attardés (merci la SNCF), on a bien rigolé et papoté, et c’était agréable de recommencer à accueillir du monde à la maison.
- En plus, j’ai été gâtée : LeMari de Ioionette m’a apporté des fleurs, et Shermane m’a offert du thé Dammann. La Crevette n’était pas en reste puisqu’elle a reçu une peluche et un livre.
- Samedi, j’ai rencontré une de mes éditrices et, après une énième discussion à bâtons rompus sur nos voyages, elle m’a confirmé que j’aurai de quoi travailler jusqu’au printemps prochain. Le luxe.
- Dimanche enfin, grosse journée à Livre Paris, où j’ai participé à l’atelier d’Emma Foster, “Traduire et écrire de la romance”, et où j’ai dédicacé en compagnie de Marion Olharan, une copine de fac, et soutenue moralement par les ami-e-s. C’était très sympa.
Inutile de dire qu’après un programme pareil je suis vannée, d’autant que j’ai réussi, je ne sais trop comment, à parcourir 10 kilomètres dans la journée d’hier. Du coup, cette semaine risque d’être encore fort calme sur le blog, d’autant que nous partons à Budapest vendredi.