Quelle semaine ! J’ai enfin pu me jeter à corps perdu dans le travail pendant que les enfants étaient gardés tous les deux. Répit de courte durée, puisque le Paprika a officiellement déclaré la varicelle (et une dent… bonjour l’ambiance) ce matin. Et puis, soyons francs, le début de la semaine a été marqué par une fatigue intense et un gros craquage jeudi matin. Autant vous dire que j’ai un peu le trouillomètre à zéro pour les mois qui viennent. Mais en attendant, je vais essayer de me concentrer sur le positif.
- Lundi, Monsieur découche pour le boulot. Prise d’une envie subite, j’attaque enfin les sachets de chocolat chaud à préparer de Soma Chocolatemaker acheté à Toronto lors de mon séjour il y a 18 mois. J’aurais pas dû attendre aussi longtemps : c’est à tomber par terre. J’ai sifflé tout le “Dark side of the mug” (chocolat noir, très noir), mais fait goûter le Maya (piment et épices) à l’Anglais : le verdict est enthousiaste.
- Je me suis remise à lire après presque trois semaines de passage à vide. J’ai notamment repris un gros pavé mis de côté parce que si l’histoire est passionnante, elle est quand même difficile et j’appréhende la fin.
- Un petit échange de SMS avec Malena suite à mon billet sur les joies de la vie de mère.
- Me voir proposer un projet intéressant par l’une de mes éditrices. Bon, en revanche, je vais travailler comme une damnée d’avril à septembre. Ramassez-moi à la balayette en octobre, s’il vous plaît.
- Vendredi, l’Anglais et moi nous sommes fait une séance de cinéma en amoureux (Black Panther). Critique demain sur ce blog.
- En fin d’après-midi, il est parti avec les enfants, m’offrant 48 heures en célibataire. Du coup, j’ai dormi. Une nuit de 10 heures, une sieste de 2 heures, une nuit de 8 heures, et j’aurais sans doute pu continuer.
- Oh, et je suis allée au cinéma avec Lou² voir Moi, Tonya (critique dans la semaine). On a aussi mangé dans un faux resto japonais parfaitement oubliable mais qui nous a rappelé notre folle jeunesse et on a discuté comme des pies.
- Aujourd’hui, j’ai organisé ma première braderie à la maison ! Nous étions 9, prêtes à troquer vêtements, bijoux, chaussures, sacs… je suis désespérée que Malena chausse du 37, vous n’avez pas idée (ces escarpins Annabel Winship, bon sang !). Pour me consoler, j’ai déniché deux robes, une combinaison (alors que j’avais toujours juré que je n’en porterais pas) et un nouveau sac à main. J’ai dit adieu à beaucoup de mes robes préférées, mais je sais que leurs nouvelles propriétaires en prendront soin.