Peu avant les fêtes, l’Anglais et moi avons trouvé ce jeu qui trônait chez notre libraire. Comme nous sommes sensibles aux sirènes du marketing facilement enclins à sortir la carte bleue toujours prêts à tester des trucs, nous sommes repartis avec.
La boîte hexagonale ornée d’un Dark Vador est belle, et promet “500 questions pour devenir maître jedi ou seigneur sith”. Le plateau de jeu carré propose un parcours mi-côté obscur, mi-côté lumineux, avec des cases correspondant aux différents types de questions (astronomie, biodiversité, personnages, technologie, envers du décor), des cases “atout” (différentes selon que l’on joue de tel ou tel côté), ainsi que des cases piège/aide classiques d’un jeu de l’oie (reculez de 4 cases / avancez de 3 cases, etc.).
On choisit son pion, son côté, on lance le dé et… c’est parti. Les règles sont relativement simples – trop, peut-être ? – d’autant qu’on peut choisir dans quel sens on part. Les questions s’enchaînent avec de grosses disparités de difficulté : du très simple au très, très pointu, et ce sans la moindre gradation. Ca se joue vite : la première fois, nous avons mis une vingtaine de minutes, la seconde… moins de cinq (Monsieur est tombé sur toutes les bonnes cases).
Du coup, je suis un peu mitigée sur l’objet : c’est un truc sympa pour une fin de soirée ou une partie en famille, mais si vous êtes fan de la série, vous risquez de crier au scandale (j’ai remporté sans problème la première partie alors que je ne suis pas du tout spécialiste de la saga – nettement moins que l’Anglais, en tout cas), parce que tout de même assez “léger” niveau contenu. Ou alors, on a raté un truc du côté des règles.
Mais à 40€, c’est un peu cher payer la licence…
Grand quiz Starwars, Nicolas Beaujouan, Philippe Touboul, Hachette Heroes