Suite au concours organisé par Elanor pour célébrer les huit ans de son blog, celle-ci nous invite à évoquer huit “souvenirs climatiques”. J’avais commencé à m’y mettre hier matin, mais j’ai traîné, traîné… et la page de commentaires a buggé, si bien que j’ai tout perdu. Du coup, à l’instar de Sunalee, j’ai décidé d’en faire un article.
- L’air frais automnal quand, chaque dimanche, je traînais mes parents pour une balade en forêt.
- Le jour de notre mariage, au milieu d’un mois pas très encourageant, il a fait un temps radieux sans être trop chaud.
- Premier séjour à New York, une semaine en avril. Un temps radieux, printanier, alors qu’il faisait gris et froid à Paris (qui a dit “comme toujours” ?). Le matin de notre dernier jour de vacances, la neige était tombée.
- En Tasmanie, à l’occasion de notre voyage de noces, le brouillard qui s’était levé d’un coup : nous avons gravi une passerelle qui dominait la mer, on ne voyait pas à trois mètres, alors que nous étions assez haut. Etrange sensation de flotter dans le ciel.
- J’ai rencontré un typhon, un vrai. Au cours d’une visite à Odawara, au Japon, et pendant les quelques minutes nécessaires à regagner la voiture de mes hôtes, mon jean s’est retrouvé aussi trempé que si j’avais plongé dans une rivière (j’avais de l’eau à mi-cuisses alors que mon imperméable arrivait aux genoux).
- Quand il fait beau et chaud, que je fais la sieste et qu’à mon réveil le soleil est encore haut dans le ciel.
- Petite, on faisait du feu dans la cheminée les dimanches où il faisait froid, et que ma mère faisait cuire des pommes de terre sous la cendre. Après le dessert, on avait le droit de faire brûler nos épluchures de clémentine.
- Faire de la balançoire alors que le mistral souffle et se faire peur à chaque envolée.