Attention, ce post ne parle pas (ou fort peu) de livres, de littérature ou de dédicaces. Il pourrait plutôt s’intituler : “le salon du livre vu de mon salon”.
Cette année, il y a donc eu…
Du monde dans mon salon
Et surtout dans le canapé-lit. La soeur de l’Anglais et son cher et tendre ont passé près d’une semaine chez nous. Ce qui s’est traduit par une certaine bousculade dans la salle de bains le matin, des apparitions épisodiques du beau-frère débordé de travail et beaucoup d’organisation dans le gestion des ressources (clés, nourriture…).
De l’alcool
On ne se refait pas. Deux hérédités russes à table, parfois même trois, le résultat était couru d’avance.
Vendredi : cognac “pour faire goûter” la bouteille offerte par Matou.
Samedi : cidre à l’apéro, baeksaeju au resto coréen
Dimanche : soirée au pub.
Lundi : vin au dîner
Mardi : saké au dîner, rhum arrangé à la maison, Saint Patrick au pub.
Du thé
Le thé, c’est le bien, et c’est bien meilleur que le café. Une théière par jour minimum.
Queen
Forcément. Passage en revue de tous les meilleurs clips du groupe. Passage en revue de tous leurs hits, en quelque sorte.
Un chat
Coup de foudre réciproque entre le chat et sa “tante”. Des heures de jeu, de câlins et de sorties sur le balcon, et un gros coup au moral quand il a fallu partir.
Des livres
Et du monde. Surtout du monde en fait. Le Salon aura été l’occasion de développer une certaine agoraphobie.
De l’émeute pour la dédicace de l’équipe de Plus belle la vie à la foule bruissante de dimanche, en passant par les “soirées privées” sur certains stands, acheter des livres est devenu un sport extrême. On notera que j’ai presque eu l’occasion d’avoir une dédicace de Pénélope : seulement deux heures d’attente, et impossible de la voir avec la foule d’admirateurs tout autour.
Sinon, je vous rassure, j’ai acheté des bouquins, je m’en suis fait offrir par l’Anglais et prêter par Matou, j’ai ma dose de culture et de bonne conscience.