Déjà le deuxième opéra de la saison ! Artistes excellents, mise en scène… assez vide, dirons-nous. Mais c’était une belle soirée.
Les représentants du chauffagiste viennent pour évaluer les réparations à faire sur notre installation. J’ai l’impression d’accueillir Laurel & Hardy qui feraient des “dad jokes” toutes les 30 secondes. Au moins on ne s’ennuie pas.
L’avantage de vider des caisses de bouquins, c’est qu’on peut les prêter aux copains qui déménagent… et passer une heure à papoter ce faisant.
J’ai le moral un peu entamé… et puis je vois passer un “moonscope” relayé par une copine qui me parle directement. Je suis à deux d’envoyer un message à celle qui a composé ça pour lui dire merci.
La première raclette de l’année, à la grande joie de Mademoiselle qui nous tanne depuis… août.
Il faut vraiment qu’on emmène le Paprika chez le coiffeur, il commence à avoir le look de BoJo.
Mon père est en France ! Je ne verrai pas sa femme, trop crevée pour enchaîner un dej avec sa belle-fille et un thé avec l’autre, mais j’ai vu ma demi-soeur, la Crevette est ravie (vous suivez ?).
On continue avec le ballet des anniversaires : cela s’arrêtera-t-il un jour ?
L’Anglais renoue avec une grande tradition : demander pour Noël / son anniversaire exactement le truc que j’avais prévu de lui offrir. Grmf.
Comme un lundi matin… beuh.
Déjeuner avec mon père (deux fois en trois jours, damned), excellent resto.
Le maraîcher a des fleurs de courgette ! Et m’annonce qu’il me met du cime di rappa de côté pour dimanche (du coup, j’en ai récupéré un kilo, va falloir congeler).
La poisse des transports et l’opéra-sprint, un vrai mythe : pour aller à Versailles, le Transilien qui passe à côté de chez moi souffre de retard et annulations pour cause de voyageur malade / personnes sur le voies. J’envisage de me replier sur le RER C, mais celui-ci est carrément interrompu pour cause de… bagage oublié. C’est un complot.
Je réussi à arriver par miracle dans les temps en prenant deux trains indiqués comme “supprimés”. Les voies de la SNCF sont impénétrables (ou presque, vu qu’il y a toujours des marioles pour se promener dessus).
Dîner avec ma mère et ma sœur, dans un excellent bar à vin. A refaire!
Piscine avec trois enfants de 5 ans. J’ai survécu, j’ai perdu personne, noyé personne, et égaré zéro chaussette. Fière de moi, je suis.
Ce fut une semaine de cuisine “zéro déchet” : soupe de fanes de carotte, tomates confites, bocal de poivrons et… gâteau banane-chocolat débuté dimanche à 21h30. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour éviter de regarder le foot. (Et qu’est-ce que c’est chronophage, aussi)
2 thoughts on “Une semaine… #73”
Je vais avoir l’air bête, mais c’est quoi un “moonscope” ?
Je vais avoir l’air bête, mais c’est quoi un “moonscope” ?
Au passage, fière de toi tu peux être <3
Je ne sais pas non plus^^