Reprise des activités extra-scolaires : patin à glace (deux fois), danse classique, éveil corporel, orthophoniste et psychomotricienne. Il va falloir mettre en place une organisation militaire.
Mon nouveau roman est sorti ! Après plus de cinq ans de passage à vide, c’est un retour réjouissant (pour moi) à l’édition.
J’ai pris des places pour aller voir Evanescence et Within Temptation avec une copine de lycée, histoire qu’on se rappelle notre jeunesse enfuie (si jamais c’est maintenu, bien sûr). Ne me jugez pas, c’est 2020 qui m’a forcée.
Après l’avoir lamentablement traîné une bonne partie de l’année 2020 – en même temps quelle idée de lire une dystopie alors qu’on en vit une ? – je finis péniblement The Heart Goes Last de Margaret Atwood. Eh bien, je me suis emmerdée.
Le problème du Brexit ? Y’a plus rien chez Marks & Spencer. Impossible d’y trouver de la bière et du cidre, ne restent que les chips et les biscuits.
Bon, on aura rôdé avec succès l’organisation pendant 15 jours… avec le couvre-feu et l’interdiction du sport en espace fermé, seules demeurent les séances d’orthophonie et de psychomotricité.
L’idée d’Armalite qui a noté toutes ses dépenses d’habillement est très tentante, et si j’essayais de faire pareil ? On en reparle en novembre, quand je penserai à rempli le fichier après l’avoir oublié dans un coin de mon ordinateur pendant six mois.
Il neige ! Est-ce qu’on en a profité pour faire une pseudo bataille de boules de neige et un bonhomme boiteux ? Oui. Est-ce que j’ai fait des stories sur les réseaux sociaux comme tout le monde ? Bien entendu.
Décidément, les pantalons étanches “Puddle Buster” de la marque Frugi étaient un achat particulièrement éclairé : non seulement les enfants peuvent se rouler dans la neige / bouillasse avec, mais en plus ils ne finissent pas trempés comme tous les autres gamins du square en allant faire du toboggan le lendemain.
Je rame pour boucler mon nouveau manuscrit, j’ai l’impression que la ligne d’arrivée recule à mesure que j’avance, c’est un peu frustrant.
Traverser Paris pour la visite médicale reportée deux fois depuis février : mission accomplie. Sans surprise, je suis apte.
Déplâtrage, victoire !
Dois-je remercier Gasparde de m’avoir fait découvrir les superbes broches de la marque En Avril ? Vu ce que je viens de dépenser pour recevoir le portrait de la princesse dans Peau d’Ane, j’hésite (non, en vrai, je suis ravie).
Pour la première fois en deux mois, j’ai fini un livre ! Je suis fière de moi, j’espère poursuivre sur ma lancée.
D’ailleurs, j’ai décidé de faire le Cold Winter Challenge avec Isa, mais… dans quelle catégorie je range “Neige rouge”, moi ?
Premier cours de danse en visio pour Mademoiselle : après une heure de pointes et d’étirements, une heure de défoulement en justaucorps sur de la musique pop.
J’ai écrit un mini polar pour la super marque de vêtements éthique Bleu Tango. Vous pouvez retrouver les épisodes sur Instagram, illustrés par la créatrice Lou.
Quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi je m’échine à aller seule au marché pour limiter les contacts et pourquoi tout le monde y va en couple / en famille ? Ca me soûle.
Les cadeaux de Noël avancent : c’est réglé pour ma sœur et mon beau-frère, presque fini pour ma nièce et ma mère, en cours pour l’Anglais. En revanche, les enfants… c’est pas gagné.
On s’est lancé un défi fou avec l’Anglais : revoir tous les films Starwars et faire des repas en accord, en s’appuyant sur les recettes proposées dans les ouvrages Gastronogeek. Au moment où on va s’y mettre, il se luxe le coude, et devinez qui a dû se taper de châtrer les langoustines, hein ?
J’ai reçu mon exemplaire de l’art book dédié à la première saison de la série The Mandalorian, et que j’ai eu l’honneur de traduire. Je ne suis pas peu fière.
D’ailleurs j’ai passé tellement de temps à explorer l’univers étendu de Starwars cet été pour ladite traduction que, en plein épisode 11 de la nouvelle saison, j’arrête la vidéo pour expliquer à Monsieur l’importance de l’arrivée d’un personnage (après avoir fait des bonds de cabri devant la dernière scène de l’épisode 9 – les vrais savent).
Le semi-confinement c’est un peu l’arnaque : en semaine tu cravaches pour que ta journée de travail ne déborde pas sur le reste, et le week-end t’es coincé à la maison avec les gamins. Je rêve d’une balade en forêt, vous avez pas idée.
Le Paprika s’est découvert une passion pour la peinture. C’est salissant (mais récupérable à grande eau) et, surtout, ça l’occupe. En revanche, il peut tout à fait commencer à réclamer ses pinceaux dès 7h30 du matin.
Ma traversée du désert culturelle se poursuit : je n’ai pas lu de “vrai” bouquin depuis fin septembre. En revanche, j’ai lu beaucoup trop de fanfics et d’articles de journaux.
J’ai commencé les cadeaux de Noël, en cherchant à privilégier des créateurs, au moins pour les adultes. Maintenant, si les fournisseurs pouvaient m’envoyer les colis, ça m’arrangerait bien.
Après avoir fini un recueil de nouvelles de Doris Lessing, j’enchaîne avec le “Roland furieux” de l’Arioste. Remarque d’Armalite : en fait on ne lit jamais la même chose. Et moi de renchérir : et quand c’est le cas, on n’a jamais le même avis dessus !
Reprise des baignades en solo pour nager : je me rends compte à quel point cela m’avait manqué.
Une belle soirée musicale dans un vignoble en compagnie d’Isa et de son chéri (à la contrebasse). Comme d’habitude, l’Anglais est très doué au blind test. J’aurais bien aimé avoir la possibilité de papoter un peu plus, mais c’est déjà bien d’avoir pu se voir. Croisons les doigts pour septembre.
Première heure de trajet retour : un vomito de Junior et une crotte du chat dans sa caisse. Joie, bonheur et fenêtres ouvertes.
Nos plantes n’ont pas bien vécu notre absence : la voisine a probablement oublié d’arroser l’oranger, qui a séché sur pied, et trop arrosé la guzmania, dont la fleur a pourri. Bon, au moins elle est encore en vie.
Qui dit retour de vacances, dit colis et courrier : un nombre incalculable (et encombrant) de justificatifs, les magazines des enfants, un courrier de l’Urssaf nous annonçant que nous sommes bien immatriculés à l’Agessa et… ma châtelaine 18ème achetée pendant le confinement et dont je commençais à craindre qu’elle n’arriverait plus.
Première journée sans les enfants depuis bientôt 4 semaines. Pour fêter ça… on ne fait rien. Le bonheur.
Miséricorde, il n’y a plus de riz à la maison ! Allons donc faire les courses dans le quartier de l’Opéra, et déjeuner chez Kodawari Ramen au passage. Si je connaissais leur premier établissement rue Mazarine (Kodawari Yokocho), c’est une heureuse découverte avec celui-ci (Tsukiji).
La vague de chaleur est nettement plus supportable dans le sud avec la piscine et l’énorme orage en fin de journée qu’à Paris dans l’appartement surchauffé.
Une après-midi bien remplie avec trois puis quatre enfants à la maison (mais ils s’occupent presque tous seuls maintenant).
Deux heures après avoir bouclé les achats de fournitures scolaires de la Crevette (rentrée au CP en septembre, mondieumondieu), je découvre que la mairie offre une partie de l’équipement à chaque élève. Ils n’auraient pas pu le préciser sur la liste, bon sang ???
Occuper les enfants en période de canicule : le safari du zoo de Thoiry dans la voiture climatisée, où il fait forcément meilleur que dans notre appartement, et découverte de la piscine à l’eau salée des voisins de ma sœur.
On rentre avec un enfant en moins – Mademoiselle passe la semaine avec sa grand-mère – c’est un peu plus calme.
Dimanche de canicule : cueillette en début de matinée (qui s’achève sous un soleil de plomb à 11h) et test de la piscine municipale en temps de Covid-19 : il y a du monde mais le circuit est très bien balisé, et c’est moins la foire qu’un jour de très forte chaleur comme celui-ci, donc plutôt séduits par la formule. A refaire.
Lundi, je rends mes deux trads terminées de haute lutte pendant le confinement. Mardi, je suis au chômage technique, le reste de mon année étant reporté sine die. Oup.
Heureusement que le réseau et les copines existent ! J’ai lancé un appel au secours et, moins de 15 jours plus tard, j’ai de quoi occuper mes vacances d’été. Je remercie très chaleureusement Armalite, Karen, Isa, Gasparde, Angela, Emily et Greg qui ont récupéré mon CV ou ont transmis mon contact à qui de droit.
On a retiré la tétine au Paprika, qui n’y a plus droit que pour la sieste ou la nuit. Après deux jours à se rouler par terre de frustration, il s’est fait une raison et me confie en souriant tétine et doudous le matin au lever. Moi qui me faisais une montagne de tout ça…
Déjeuner avec C., avec qui je parle de mon nouveau projet de synopsis avant une longue balade dans Paris.
Et paf, la semelle de ma Repetto qui se détache alors que je suis en train de marcher. Je finis les 300 derniers mètres avec une démarche de flamant rose bourré extrêmement élégante (ou pas).
J’étais bien partie dans Margaret Atwood, mais c’est quand même très sombre et ça ne va pas trop avec mon humeur du moment.
Les manèges ont rouvert, on va pouvoir acheter la paix sociale occuper les à coup de tickets fluos.
Et à 18h30, décaler Gni, la baby-sitter et le resto pour le coup à boire.
34° dehors, au moins 50° dans le train. Si je m’écoutais, je prendrais 5 douches par jour.
L’editing final est validé, direction les corrections !
D’ailleurs, très logiquement, on décide de boire du champagne et de manger des plats un peu lourds pour fêter nos retrouvailles. (Passons sur la gaufre du dessert.)
Journée barbecue et jardin (et crachin), histoire de profiter de la campagne.
Mise au point d’un plan machiavélique à base de piscine et de siège auto.
J’ai retrouvé le Paprika tout nu et mort de rire en train d’escalader le lit d’un des copains de classe de sa sœur. On n’est pas sortis des ronces.
Et au moment où la Crevette aperçoit ma belle-mère, nous cessons d’exister.
Première sortie au resto depuis le déconfinement : je retrouve les copines pour un tonkatsu. Et nous sommes… seules en terrasse, vu que le resto ne fait quasiment que de la vente à emporter en ce moment.
D’ailleurs, pour un mois de juin, la terrasse est plutôt fraîche et venteuse.
J’ai fini mes relectures de traduction, place à l’editing. C’est marrant le nombre d’incohérences qu’il reste là-dedans.
Rédiger son autobiographie, fût-ce en deux paragraphes, c’est quand même pas marrant.
Encore un resto avec des amis ! J’avais perdu l’habitude de picoler comme ça, le lever est un poil difficile.
J’ai reçu mon nouveau maillot de bain : c’est pas avec ça que j’irai à la piscine municipale mais, de loin, et dans la pénombre, je ressemble à une James Bond girl.
On a déclaré nos revenus ! C’est toujours aussi stressant avec nos profils qui rentrent pas dans les cases.
D’ailleurs, un grand merci à Isa pour les modèles Excel qui vont m’ôter une sacrée épine du pied.
Une heure à retourner l’appartement pour chercher le doudou, qui demeure introuvable. Nous le retrouverons à l’heure du coucher des adultes, caché entre deux couettes.
Allons faire prendre l’air aux enfants en zone verte : les jardins du château de Maintenon et le jardin médiéval de la ferme de Boisricheux (c’est un peu planqué au milieu des champs mais ça vaut le détour).
Alléluia, le manège a rouvert ! En revanche, j’ai toujours pas compris si les jeux étaient accessibles ou si les gens s’étaient juste contentés de pousser les barrières / rubalises.
Pour fêter la réouverture du fleuriste, je m’offre un ravissant bouquet de roses “Léonard de Vinci”. Pas très parfumées mais très belles.
La folle qui ressort son DVD de Beetlejuice pour vérifier la traduction française d’une des dernières répliques, c’est…?
On a reçu la nouvelle chaise haute (en gros, la chaise évolutive Stokke, celle qui fait très mal aux orteils quand on se cogne dedans) pour Junior.
En trois jours, j’ai visité trois librairies différentes et dépensé une somme plus que rondelette. Comme dirait une copine, je soutiens l’effort de guerre.
D’ailleurs, ça faisait longtemps que je n’avais pas acheté de BD, et j’ai fait mouche !
Balade en forêt traditionnelle : le Paprika se roule dans les buissons de ronces (et d’autres trucs pas toujours identifiés). Bizarrement, le lendemain matin, il a des boutons sur la moitié du cou et le bas du visage…
Je me fais une atroce crampe au mollet en… retirant une botte en caoutchouc après ladite balade (la balade de tous les dangers, à mon avis).
Je dévore une romance historique française en une soirée, qui plus est sur une période qui ne m’inspire pas forcément. Ca faisait longtemps !
Pour la fête des mères, la Crevette m’a fait un dessin et un collage dessiné (si, si). Et Monsieur rentre d’une session de boulot avec une belle guzmania dans les bras. (D’après Angéla Morelli, ça s’entretient facilement et ça vit vieux, c’est la plante idéale pour moi.)
Mon éditrice, portée disparue depuis le début du confinement, m’a fait un retour dithyrambique sur mon manuscrit. Du coup je me suis relue, et je dois avouer que c’est pas mal.
Nos week-ends se ressemblent : balade, pique-nique, jeux ou sieste pour crever tout ce petit monde.
Du coup, on a vu L. et ses enfants, et on a fait escale dans une sablière en pleine forêt. C’est assez surprenant au début, on se croirait presque à la plage.
Et on a visité l’arboretum de la Vallée aux Loups, ainsi qu’un bout du parc. A refaire en automne, ce doit être magnifique.
Au détour d’une allée, non loin de la maison Chateaubriand, croiser un vieux pote de taverne. Normal.
“American Gods” c’est quand même très barré. J’arrive toujours pas à savoir si j’adore ou si je suis dubitative, même si j’ai envie de voir la saison 2.
Après son frère qui est retourné chez la nounou la semaine dernière, c’est au tour de la Crevette de reprendre le chemin de l’école. Elle aime y aller en temps normal, mais là elle sort de son lit en sautillant et rentre ravie de sa journée.
Deuxième sortie dans Paris – j’ai fait un aller-retour express la semaine dernière pour des courses – je marche entre Montparnasse et Censier : entre le temps radieux, les cafés et restaurants toujours fermés et les boutiques peu fréquentées en ce lundi, j’ai l’impression d’être au mois d’août.
Cette traduction est courte, mais j’ai tout donné pour la précédente pendant le confinement, et ma motivation et mon énergie sont un peu aux abonnées absentes. En plus c’est de la romance étudiante, et c’est vraiment pas ce que je préfère.
Miracle, après 14 mois, je suis retournée chez le coiffeur (j’avais rendez-vous le… 17 mars). J’ai perdu au moins 15 centimètres de cheveux, je me sens plus légère.
Pour changer des multiples écoutes quotidiennes d’Aldebert et François Hajji-Lazaro pendant le confinement, je me réjouis de retrouver une vieille compil’ de Chantal Goya appartenant à Mademoiselle. Après une écoute, Junior est accro, devinez ce qui passe en boucle à la maison ?
Ca y est, la Crevette fait du vélo sans les petites roues. Ca fait plusieurs mois qu’on en parle, mais c’est venu d’un coup.
Que faire le week-end avec des enfants alors que les parcs sont fermés? Une balade en forêt, bien sûr ! A nous Meudon et Rambouillet (eh oui, c’était un week-end prolongé).
Et donc une heure avant de partir, encore en pyjama, je décide d’étrenner le moule Nordic Ware offert par ma sœur la semaine dernière. De l’art d’avoir le sens des priorités.
Deux grosses balades de près de 6 kilomètres, pas de sieste : deux soirées tranquilles où les enfants tombent de sommeil avant 20h. On a trouvé la formule !
Le trajet nounou – école – bus – tram – patinoire – retour à la maison s’est mieux déroulé que je ne le craignais, mais je ne ferais pas ça tout le temps. Comment ça, je remets ça la semaine prochaine ?
Si Mademoiselle n’était pas la seule petite fille déguisée en paon pour Mardi-Gras (merci Oxybul), il devait y avoir une demi-douzaine de Reines des Neiges par classe. Et la jupe courte nous a évité bien des désagréments avec le temps pourri.
Une proposition de boulot inattendue et hyper enthousiasmante. Me voilà en train de sautiller toute seule sur ma chaise.
Pas de baby-sitter pour la piscine, tant pis. Je suis lessivée – même si nager aurait sans doute fait du bien à mon dos.
Ce déjeuner entre copines est le prétexte parfait pour tester cette nouvelle adresse.
Le tri des vêtements des enfants, ou la corvée qui ne s’arrête jamais.
L’Anglais est rentré, alléluïa !
Non, j’ai pas mangé tous les cannelés. J’ai été héroïque.
J’ai fini ma trad et je dispose de 15 jours pour relire. J’ai bien fait de paniquer la semaine dernière et de me pousser aux fesses pour bosser.
OK, t’es vexée, mais ça fait quand même deux mois que j’ai pas de nouvelles, hein.
Entre le coronavirus et la question de la garde des enfants, partirons-nous à Venise en avril ?
Ou comment rattraper un ratage culinaire en réussite. Merci OwiOwi !
Une proposition plus qu’alléchante pour Pâques (et pour une fois, je ne parle pas de chocolat). Espérons qu’elle soit réalisable !
On a les invitations pour la fête d’anniversaire de Mademoiselle, on a de quoi occuper les gamins, on a casé Junior chez sa grand-mère… on n’a plus qu’à se préparer psychologiquement.
D’ailleurs la sortie d’anniversaire de Mademoiselle sera-t-elle compatible avec les nouvelles restrictions ? Mystère.