Pour fêter la réouverture du fleuriste, je m’offre un ravissant bouquet de roses “Léonard de Vinci”. Pas très parfumées mais très belles.
La folle qui ressort son DVD de Beetlejuice pour vérifier la traduction française d’une des dernières répliques, c’est…?
On a reçu la nouvelle chaise haute (en gros, la chaise évolutive Stokke, celle qui fait très mal aux orteils quand on se cogne dedans) pour Junior.
En trois jours, j’ai visité trois librairies différentes et dépensé une somme plus que rondelette. Comme dirait une copine, je soutiens l’effort de guerre.
D’ailleurs, ça faisait longtemps que je n’avais pas acheté de BD, et j’ai fait mouche !
Balade en forêt traditionnelle : le Paprika se roule dans les buissons de ronces (et d’autres trucs pas toujours identifiés). Bizarrement, le lendemain matin, il a des boutons sur la moitié du cou et le bas du visage…
Je me fais une atroce crampe au mollet en… retirant une botte en caoutchouc après ladite balade (la balade de tous les dangers, à mon avis).
Je dévore une romance historique française en une soirée, qui plus est sur une période qui ne m’inspire pas forcément. Ca faisait longtemps !
Pour la fête des mères, la Crevette m’a fait un dessin et un collage dessiné (si, si). Et Monsieur rentre d’une session de boulot avec une belle guzmania dans les bras. (D’après Angéla Morelli, ça s’entretient facilement et ça vit vieux, c’est la plante idéale pour moi.)
En moins de 15 minutes, Junior escalade le tableau noir/Velleda de sa sœur (deux fois), met des papiers par terre, grimpe sur la chaise pour boire (fail), et déplace son lit. Ça existe, les seringues hypodermiques pour enfants ?
Pour le départ en retraite de la maîtresse, les parents ont organisé un mini-happening, avec comptine bricolée pour l’occasion et cadeaux communs. Je crois l’avoir vue essuyer une larmichette.
Je retrouve Cha pour déjeuner après avoir annulé la semaine dernière pour une sombre histoire de canicule. La quête du restaurant n’est pas simple, mais nous finissons par aller dans un de mes QG qui, outre une jolie vue, offre une délicieuse cuisine italienne (à des tarifs très parisiens, on ne peut pas tout avoir).
Mon cousin et sa femme viennent nous rendre visite avec leur fils. Qu’est-ce qu’il a grandi en quelques mois ! C’est vrai pour tous les bébés, mais ça l’est particulièrement pour celui-ci.
Une semaine avec non pas une, mais DEUX séances de cinéma. Si. On a vu Made in China et le dernier Spiderman. Le premier était drôle, et amène assez finement la question des origines et du racisme plus ou moins latent à l’égard des Français d’origine asiatique. Le deuxième était, encore une fois, le meilleur film de super-héros de l’année.
C’est les vacances ! Maintenant, il va falloir occuper tout ça pendant deux mois (je triche, j’ai la nounou, mais il reste les week-ends…).
J’ai une quête : trouver des ballerines Repetto en soldes à Mademoiselle (de la part de sa grand-mère). C’est un échec, et le bazar ambiant dans l’un des grands magasins met ma patience à très rude épreuve.
Donc ça fait trois fois cette semaine que je traîne dans le quartier de la Maison du mochi, persuadée qu’ils sont à l’autre bout de Paris, et alors que je ne rêve que d’aller dépenser mes sous chez eux ? Remédions au plus vite à ce malentendu !
En allant au parc, nous croisons une copine de la Crevette et ses parents. Histoire d’acheter la paix sociale – et de pouvoir discuter – on se ruine en tickets de manège.
C’est moi ou le cidre est vachement puissant ? C’est le même que d’habitude ? Ah bah ça doit être la fatigue, alors.
Sans (trop de) surprise, Junior fait un magnifique plat sur les cailloux. Quelle idée de faire des squares en pente.
C’est officiel, je fais désormais une taille de fringues qui n’intéresse plus certaines marques. Mon ego en prend un coup.
Un détour chez Maison Aleph pour goûter leur glace rose/yaourt de brebis et fraise/fleur d’oranger. J’ai cru défaillir de bonheur.
J’ai acheté un bouquin musical sur Verdi au Paprika. Du coup, j’ai la marche triomphale d’Aïda dans la tête en permanence.
Avec ce début d’été, difficile de recycler mon pain sec en soupe. Du coup, on tente la panzanella. C’est pas mal même si je préfère préparer du gaspacho. La prochaine fois, je mettrai moins de vinaigre !
Ne me demandez pas comment elle a fait, mais la Crevette a fait s’écrouler la tablette au-dessus des toilettes, celle qui servait de bibliothèque annexe annexe (c’était une petite bibliothèque). Plus de peur que de mal, mais un bon quart d’heure de rangement : on avait vraiment tant de bouquins que ça dans cette pièce ? (Spoiler : oui)
Mademoiselle est remontée comme une horloge : elle va à Provins ! Une journée entière à arpenter la ville et assister aux spectacles, et dont elle est rentrée ravie. Côté historicité, on va dire que c’est une introduction et qu’on rectifiera le tir lors des campements (un jour) (peut-être).
Monsieur et moi en profitons pour visiter l’expo Rouge, l’art au pays des soviets aux Galeries nationales du Grand Palais. C’est extrêmement intéressant, surtout la première partie, au rez-de-chaussée, consacrée à l’art total, à la remise en question des cadres établis et à l’espèce de communion entre artistes et pouvoir communiste lors des premières années du régime (ça n’a pas duré, rassurez-vous). La reconstitution du club des ouvriers et sa table d’échecs m’ont beaucoup plu.
En revanche, la partie consacrée à la période stalinienne est plus courte, et souligne la dérive totalitaire qui se traduit dans la production artistique. On retrouve de belles toiles, mais il est évident que la créativité est bridée au point d’être un pastiche d’elle-même.
Pour une fois, on a décidé de ne pas subir la fête de la musique. Notre quartier organise une fête dans notre rue et, après avoir assisté bon gré mal gré à un concert tout en patientant pour le maquillage / le magicien / l’atelier créatif, on remonte en embarquant deux copines de la Crevette et leurs parents, pour clôturer en beauté avec un apéro. On devrait faire ça plus souvent, c’était très cool.
En revanche, Junior a pleuré pendant une demi-heure au moment du coucher tellement il saturait de bruits, émotions, interactions…
On émerge péniblement pour notre cueillette bimensuelle. Direction Viltain, d’où on rapporte fraises, groseilles, courgettes, betteraves et fleurs.
Du haut de ses 20 mois, le Paprika a développé une sacrée technique de cueilleur : il est capable de pister les fraises (vu sa petite taille, c’est logique) et de les mettre dans la boîte presque pas écrasées. On va bien rire l’an prochain quand il cueillera son poids en fruits…
Mademoiselle – qui a un agenda plus chargé que nous en ce moment – assiste à une soirée pyjama, qui nous offre en prime notre deuxième apéro entre adultes de la semaine. C’est fête !
A 19h30 dimanche, alors qu’elle est en train de finir de dîner, la Crevette me dit, joignant le geste à la parole : “Ca me gratte la tête.” Vérification faite, elle avait un hôte indésirable, et j’ai fait des machines et des shampoings jusqu’à 22h.
On est allés voir le dernier Avengers. J’avoue que je m’attendais à plus de rebondissements que ça, surtout à la fin.
Après avoir vu les photos de famille de dimanche, j’ai un énorme coup de mou qui s’annonce parti pour durer. Vieillir, c’est moche (et c’est pas fini, en plus).
On voit que le gala a eu lieu : la moitié des élèves du cours de danse est absente.
A défaut de gâteau d’anniversaire, un rocher Suchard fera l’affaire. Tu me mets une bougie dessus ?
L’engueulade de la semaine. Du mois. De l’année, même.
“Je n’aurai pas le temps de lire avant mon départ en vacances, mais merci.” Ah bah ça valait bien la peine, tiens.
La trop jolie carte d’anniversaire maison réalisée par Giulia.
Entre saint-honoré pêche-verveine et tarte fraise-rhubarbe, mon cœur balance. Mais pas trop, en fait, vive le saint-ho.
C’est officiel, le Paprika a une petite bronchite. Et vu la nuit qu’il nous fait passer, elle est peut-être pas si petite que ça, en fait.
La traditionnelle fête foraine de Pâques a lieu la deuxième quinzaine de mai cette année. On ne pourra pas profiter des tickets offerts par la mairie (dimanche entre 10h et 12h), mais j’ai retrouvé deux tickets de l’an dernier pour une attraction que la Crevette adore. On a aussi testé les chaises volantes et rapporté un cerceau.
Je voulais bosser, et puis j’ai mis l’Eurovision, et puis on a bavassé comme des pies via Facebook, Instagram et les sms, et… je me suis couchée à une heure du matin. Fail.
D’ailleurs c’est quoi ces votes ? Et ce résultat final ? Je suis très désappointée.
La malédiction de l’opéra-sprint (ou la poisse des transports de la baby-sitter) revient : je me ronge les ongles en me demandant si on arrivera à l’heure pour la représentation de Carmen pour enfants au TCE. Oui, mais j’ai eu des sueurs froides.
Séance matinale pour aller voir Captain Marvel en prévision du dernier volet d’Avengers (non, on n’est pas en avance). C’était un film agréable, j’ai adoré la bande-son et… ben c’est tout. Ah non, Flerken forever <3
Les ramens végétariens (avec supplément chashû) sont toujours aussi bons.
Le gala de danse de la Crevette est pour samedi, il y a eu 15 jours de vacances, on se tape donc deux séances de répétitions (et des engueulades de la prof quand on suggère de mettre un goûter dans le sac / de la laque sur le chignon).
Jour férié, flotte. On essaie les activités manuelles avec les enfants, et notamment la “peinture propre” avec le Paprika (une feuille avec des pâtés de gouache mise dans une pochette plastique). Forcément, il est beaucoup plus intéressé par le scotch. C’est pas encore gagné, c’t’histoire.
L’Anglais a passé un premier entretien avec succès. Ce n’est que la première étape, mais si jamais ça se concrétise, ça va nous faire du changement.
Pour une fois, j’ai pas mis deux siècles à envoyer les cadeaux de naissance de Blobje et Toufik. Maintenant faut que je rattrape mon retard pour le mariage d’AnneEli et la communion de C. Tout baigne.
Deuxième tentative de la semaine pour aller chercher mon cadeau d’anniversaire. Quelle déception d’apprendre que le bleu cobalt était une édition limitée. Ce sera rouge pomme d’amour, alors (après moultes réflexions et considérations logiques).
Et si on en profitait pour s’offrir du beau linge de maison en lin estampé ? Ouais, j’aime me vautrer dans le luxe, surtout quand il s’agit de draps.
Le saint-honoré sous quasiment toutes ses formes reste une de mes pâtisseries préférées : ici, pêche-verveine, à tomber.
Samedi, 9h30 : le Paprika a déjà escaladé deux fois la petite table des enfants pour essayer d’ouvrir la fenêtre (la table est donc démontée et rangée), renversé une canette de Coca (don’t judge me) et lâché un objectif Sigma. Ai-je mentionné qu’il savait désormais ouvrir la porte d’entrée ?
Samedi, 10h30 : le gala est à 14h30, où sont passés les chaussons ? Oubliés à l’école hier parce que montrés à une copine. L’école est fermée, je sens venir la catastrophe.
Vive le réseau des mères de famille et la démarche agile de l’Anglais : on nous prête une paire de secours (à rendre avant 19h car l’autre petite fille est au gala du soir) et on évite la course-poursuite pour aller chez Sansha.
Ca valait bien la peine de se casser la tête à faire un chignon pour qu’on lui refasse intégralement.
C’est très mignon comme chorégraphie (15 gamines de 4 à 6 ans en tutu sur Trenet), la Crevette est concentrée comme jamais, je suis ultra fière.
Forcément, faire un blind-test dans une des villes avec la plus forte diaspora arménienne de France, ça donne un karaoké géant sur “Emmenez-moi”.
La chanson des deux galas (parce que nous avons été invitées Mademoiselle et moi à celui du soir) qui me colle le plus au cerveau ? Le lion est mort ce soir de Pow Wow. En revanche le clip ne passerait absolument plus aujourd’hui, c’est quand même hyper gênant de voir de quelle façon les personnes noires sont traitées.
Ah bon, t’étais enceinte ? Et c’est pour ? Juin ? Ah bah il serait temps que je percute.
Ooooh, ça alors, un robot artisan KitchenAid pour mon anniversaire, quelle surprise ! Cinq ans que j’en rêvais, je suis ravie. Plus tout un tas de trucs, comme d’habitude (et de la sauce) (ceci est une private joke).
J’ai rattrapé mon retard sur le texte du moment, demain il va falloir remonter le temps pour rattraper mon retard sur le texte suivant. On y croit.
Alors qu’on projetait une soirée ensemble, l’Anglais est envoyé en urgence pour photographier l’incendie de Notre-Dame.
Il fait beau mais la piscine est glaciale. Je peux le confirmer, la Crevette m’y a fait faire un tour (rapide, le tour).
En revanche, la plage n’a pas découragé les enfants. Ils ont fini par se baigner jusqu’à la taille.
Tous ces gens remontés comme des horloges contre les spoilers de la dernière saison de GoT, alors qu’ils ne se sont pas privés de faire des blagues plus ou moins intelligentes sur les saisons précédentes, ça me donne envie de hurler (ou de leur balancer un gros spoiler à la figure, au choix).
J’attaque Marina Tsvetaeva par la face nord, si je puis dire (700 pages). Le personnage est fascinant – mais sacrément torturé, voire flippant par moments. En revanche, il faut que je lise ses poèmes.
Lisbonne, c’est beau, mais infesté de touristes. A refaire en saison.
Y’a pas les prix à la Confeitaria Nacional, je fais comment ?
En revanche, à Belem, j’ai craqué – les pasteis sont délicieux.
Je procrastine comme c’est pas permis sur ma prochaine trad, en regardant la deadline se rapprocher à toute allure. Et soudain, par miracle, j’obtiens un sursis de 8 jours.
Comme l’univers est une question d’équilibre, le lendemain je découvre que la Crevette a des poux (et moi aussi). Je ne savais pas comment occuper mon 1er mai, voilà qui règle la question.
Mince alors, on a été reconnues sur la vidéo de prévention de la noyade du ministère des sports.
Un super déjeuner entre copines où je récolte une pluie de compliments.
En parlant de pluie, c’est quoi ce temps digne de novembre ?
Et pour bien conclure la semaine : la bonde de la baignoire est cassée, on ne peut plus l’ouvrir. La malédiction bestioles / flotte est de retour !
Comment ça on est en 1814 et la bataille de Waterloo a déjà eu lieu ? Je déteste quand les auteurs font mine de se documenter et me laissent un méga anachronisme au milieu.
Miracle miraculeux, nos dates de vacances s’alignent parfaitement avec celles de la nounou cette année (ça compensera l’été dernier où j’ai bien galéré).
J’ai fini ma journée et j’ai une petite pause devant moi avant d’aller chercher les enfants. Et si je me mettais à trier leurs vêtements ? (Bree van de Kamp, sors de ce corps !)
On a fini la première saison de The Crown. C’est vraiment très, très bien, il va falloir qu’on regarde la suite très vite.
Non, on n’a toujours pas Netflix, j’ai acheté le coffret DVD. Irrécupérables, je vous dis.
Brexit ou pas Brexit ? Dans le doute, on va commencer à stocker les chips au vinaigre, le cidre et les scones.
Les premières fraises de la saison. Et le retour du beau temps. C’est officiel, c’est le printemps.
Samedi matin, 7h30. Le Paprika a déjà escaladé la table basse. Le week-end s’annonce très long.
Ca se confirme, la robe gracieusement envoyée par Armalite me va comme un gant et récolte tous les suffrages sur Instagram.
Après une succession de coups de fil et de mails inattendus, nous voici la Crevette et moi en service commandé dimanche matin (plus de détails dans quelques semaines).
Il va vraiment falloir appeler le plombier demain, ça devient urgent.
C’est pas encore la forme olympique mais ça va mieux. Et si je retournais me coucher pour fêter ça ?
La Crevette est tellement fan de son nouveau déguisement de licorne qu’elle pourrait dormir dedans.
Tiens, le lave-linge a une fuite. Ca faisait longtemps qu’on n’avait pas eu d’emmerde dans cet appartement, ça manquait.
Il y avait de l’ail des ours au marché dimanche dernier ! Et j’ai fait des croissants fromage/ail des ours pour regarder Top Chef.
La bande-annonce de “Tel-Aviv on fire” me fait hurler de rire. Si on arrive à trouver le temps, on ira !
“Alors en fait tu as l’ogive pubienne rentrante. Je pense que la dernière fois, la laborantine est passée en force.” Vu comme j’ai douillé, oui, je pense aussi.
Et là, comme ça, tranquille, j’ai raté mon train (et mon rendez-vous).
Le réseau des médiathèques de ma ville organise un prix des lecteurs. La lecture de la sélection “Romans détente” manque de me faire hurler : je ne réclame pas forcément de la romance, mais un roman SFF ou un truc rigolo / feelgood, ça aurait été bienvenu.
Le colis d’Armalite, dont nous avons toutes les deux craint qu’il se perde en cours de route, est arrivé à bon port. Et la robe qu’il contient crie mon nom et me va comme un gant.
Une religieuse au chocolat = 3 repas. La Crevette est facile à nourrir.
Mes châles de Pavolovo-Posad remportent un vif succès sur Instagram. C’est vrai que je les aime d’amour.
Je passe 4 heures à poireauter sur le site de l’Opéra de Paris pour prendre mon abonnement (ça a planté la première fois et il y a une file d’attente épouvantable). Au moment de valider, le site m’annonce qu’on ne peut pas finaliser la commande car ma co-abonnée n’a pas la priorité de réservation. Achevez-moi.
Du coup, je suis plutôt contente d’aller nager, ça va me permettre d’évacuer ma frustration.
Gloire ! J’ai truandé le système et réussi à réserver les abonnements 2019-2020. Comme Marion a fait de même pour la danse, je suis très, très pauvre.
Après quelques péripéties dans les transports (un grand classique en cette période de Mercure rétrograde, comme dirait Angela), je retrouve Isa à la Gare de Lyon. C’est parti pour une brève après-midi balade/shopping sous un ciel assez menaçant.
C’est moi ou on arrive à respirer dans les allées de Livre Paris pendant la soirée d’inauguration ? En tout cas, le champagne était bon.
De retour à 22h, j’annonce que je serai bien contente de me coucher tôt. Résultat : le Paprika me vomit dessus à trois reprises au cours de l’heure suivante. Saleté de karma (merci Isa pour le coup de main !).
J’ai un rendez-vous à 9h30 Porte de Versailles, un autre à 12h dans ma banlieue et un dernier à 14h30 dans Paris. Je me suis encore bien organisée, tiens.
Pour nous réconforter, l’Anglais a rapporté des gâteaux, dont un magnifique saint-honoré à l’ananas.
Au moment où je ferme la portière de la voiture de ma mère – qui va le garder jusqu’à demain midi – le Paprika se met à pleurer. C’est pas gagné (en fait si, c’était juste un petit coup d’angoisse / “comment oses-tu m’abandonner ?”).
8 gamins survoltés – et en costumes – dans le salon tout l’après-midi. Je suis lessivée.
Miracle, sur 4 princesses Disney, on n’a pas eu un seul doublon.
Dimanche matin sans Paprika, profitons-en pour dormir un peu et préparer tranquillement le déjeuner… sauf que quelqu’un m’a filé ses microbes.
La Crevette est transformée en licorne multicolore à étoiles et paillettes. On risque pas de la perdre, au moins.
“L’art de la joie version Maison & Objet, c’est pas mon délire.” Ou comment résumer que la méthode KonMari n’est pas pour moi.
Et là, comme ça, je décide de faire des beignets de Carnaval alors que j’aime pas la friture et que je déteste en faire. Le pire c’est que ça marche et que c’est bon.
Journée culturelle avec Mademoiselle : le musée du Louvre et le resto japonais.
D’ailleurs ça fait un moment que j’avais pas mis les pieds au Louvre : ils ont refait toute la muséographie, c’est beaucoup plus lisible et aéré, on a plaisir à y faire un tour. Et on n’a même pas vu la Joconde.
J’ai reçu le programme de la nouvelle saison à l’ONP ! Je vais être très pauvre dans très peu de temps.
J’ai testé ma première recette de Yotam Ottolenghi, je risque de rejoindre la tribu des fans.
Lundi, le Paprika se prend un coup d’objectif d’appareil photo, puis une rambarde d’escalier. Mercredi, il se fait cogner la tête sur la tablette de la salle de bain. Samedi, il tombe la tête la première sur le trottoir en voulant se relever. Allô la DDASS ?
J’ai emmené la Crevette à la piscine pour mesurer les progrès annoncés. Ils sont encore plus importants que prévu, je suis bluffée.
En revanche, je me serais bien passée du jet d’eau dans l’oreille et de la douleur lancinante qui s’en est suivie.
La vendeuse s’est plantée à la prise de commande, et nous nous retrouvons avec un saint-honoré normal et non au chocolat (ça existe). En soi ça ne me dérange pas, j’adore les deux, mais la principale intéressée n’est pas ravie.