Depuis quelques semaines, un livre me fait de l’oeil : les séries complètes des pin-ups de Gil Elvgren, éditées chez Taschen. Elvgren était un artiste américain qui a travaillé des années 1930 aux années 1970, que ce soit pour des magazines ou des publicités – il a réalisé des campagnes pour Coca-Cola ou pour General Motors. Son oeuvre reste surtout connue pour ces pin-ups, jeunes femmes court vêtues et pulpeuses qui appartiennent à l’imaginaire américain de l’après-guerre.
Un tel choix de ma part peut sembler surprenant, mais j’avoue que j’ai toujours été réceptive à cette esthétique. Il est en effet plus facile de s’identifier à ces images qui ont des proportions “humaines” qu’aux mannequins qui défilent sur les podiums. Et puis, il y a un petit côté Dita qui sommeille en moi, reconnaissons-le. Bon, je n’ai pas encore craqué, mais c’est une question de jours. Et puis l’Anglais n’est pas contre cet achat, loin s’en faut, donc je ne peux obtenir aucun soutien de sa part.
Craque! En plus les éditions Taschen ont toujours fait de très bons livres sur le sujet, calui-ci ne devrait déroger à la règle!
Ensuite on te passera des adresses de modistes… 😉
Pin me up !
Note aux Benêts : une fois le livre acheté, éviter de le poser sur son lit avant d’aller se coucher toute lumière éteinte…
La couverture de ce livre reste très résistante cela dit :o)
Et voilà, comment on fait, malgré soi, du rentre-dedans à une pin-up… 😮
Ta zoa trékhéi
Ta zoa aéi trékhéi all’agathos kai alèthès éimi. Kalé léon, ou phéugé mé.
Les animaux courent toujours, mais je suis honnête et sincère. Ô brave lion, ne me fuis pas.
Dans ce grand jeu du suis-moi, je te fuis, fuis-moi, je te suis, lorsqu’il tombe sur quelque chose d’inhabituel, peut-être est-il temps pour le lion d’arrêter sa chasse.