Il faut traverser une bonne partie de Paris pour emmener le Paprika chez l’ORL pour un audiogramme. Motif : à deux ans passés, Junior ne parle toujours pas.
Verdict : il entend parfaitement, il n’a juste pas envie de parler. Le sagouin.
Mon prof de natation cette année est pompier et a décidé de nous apprendre les gestes de base du sauvetage. Excellente idée.
Après avoir retourné mes placards, je dois me rendre à l’évidence : il faut faire une expédition à la cave pour récupérer mes petits sacs à main de quand j’avais une vague vie sociale. Pour la peine, je remonte aussi l’ornithorynque.
J’ai sorti ma panoplie de Versaillaise des grandes occasions. A tel point que je demande quand même à Monsieur si “ça fait pas trop travelo”.
L’église est chauffée. C’est peut-être un détail pour vous mais pour moi ça veut dire beaucoup (je vous rassure, j’ai quand même chopé la crève).
De temps en temps, l’Anglais aime bien me coller des défis culinaires. Cette semaine, les cèpes – première fois de ma vie que j’en faisais et (surtout) que je les nettoyais.
François Alu à la télé deux fois en une quinzaine de jours, est-ce que ça ne sentirait pas la promotion d’Etoile ? On a le droit de rêver, hein.
“Vous venez au cours de danse demain ?” “Ah bon c’était pas la semaine prochaine ?”
Oups.
Pour occuper ce dimanche après-midi, nous partons en famille à la patinoire. Mademoiselle a gagné en compétences mais pas trop trop en assurance, et Junior alterne entre dérapages incontrôlés, refus d’obtempérer et avancée poussive quand on le tient.
Au milieu du premier tour de patinoire, je me cogne assez violemment le doigt dans un montant métallique. La douleur ne passe pas et je retire mon gant pour voir : c’est ouvert et ça saigne.
Après vérification auprès du 15, je m’en vais passer la soirée aux urgences, où je passe 4 heures devant Arte et dans les courants d’air. Tout ça pour conclure que je n’ai rien (mais valait mieux vérifier quand même).