Donc nous sommes enfin partis jeudi. Enfin, partis… Nous devions décoller à 10h30, nous sommes reportés sur le vol de 14h, qui finira avec près d’une heure de retard. Autant dire que l’après-midi libre qui nous était promise sur place s’est transformée en soirée (on a posé les valises à 19h, heure locale), et pas trop folle qui plus est, compte tenu de la fatigue et du décalage horaire…
Le seul point positif, dans tout ça, c’est qu’on a pu garder la Crevette une nuit de plus (ma mère est venue la chercher à 8h du matin) et qu’on n’était pas obligés de se lever au milieu de la nuit (parce qu’être à Roissy à 7h30 du matin quand on habite au sud de Paris, c’est franchement difficile).
Il faut reconnaître une chose : le service de divertissement en vol, quand tu es jeune parent, c’est le truc qui permet de rattraper ton retard au cinéma. J’ai donc vu “Captain America, the winter soldier” (et je me suis un peu emmerdée, en fait) et revu “Chicago” pour la première fois depuis sa sortie au cinéma (ah, Richard Gere, quel homme).
Je vous passe les détails sur les formalités d’accueil aux USA, la joie de voyager en groupe et de devoir attendre que les 28 personnes aient franchi la douane, la guide qui parlait extrêmement bien français mais qui avait 2 de tension (encore que… si, j’en reparlerai sans doute, en fait) et le fait que les voyages en car m’ont toujours filé la nausée.
Je préfère m’attarder sur notre première courte balade à Times Square (à côté de notre hôtel), la dizaine de rues que nous avons remontée pour arriver au super resto coréen et la lutte pour le wifi qui s’est achevée au Starbucks vers 22h.
Promis, vendredi, on s’est rattrapés.