Vais-je arriver entière à l’opéra ? Une fois n’est pas coutume, je ne rencontre pas de souci particulier, mais on est toujours aussi mal assis à l’amphithéâtre et j’ai chaud.
Et Malena, qui a le sens de l’humour, me fait discuter avec des spectatrices japonaises. La bonne blague.
Dernier cours de danse de la Crevette, il fait 35°. La prof annonce d’entrée la couleur : “On va faire de la relaxation”. Dans un studio non climatisé, tu m’étonnes.
Sur Instagram, je demande des tuyaux pour nourrir mes enfants, surtout l’aînée qui ne mange ni cru ni croquant (facile par ce temps). Les réponses sont multiples et enthousiastes.
Mademoiselle a une vie sociale plus chargée que la mienne : goûter avec une copine mercredi, invitation dans la mini piscine d’une autre samedi, balade au parc avec une troisième dimanche… Non aux cadences infernales !
J’ai reçu mes justificatifs, cinq exemplaires de la trilogie. Sachant que j’avais déjà cinq exemplaires du dernier tome (allez comprendre), des gens sont-ils intéressés par une trilogie de romance contemporaine pas trop mal fichue ? Ecrire au journal qui transmettra.
Dimanche, 10h30. Le Paprika a réussi à décoller une affiche qui ornait l’entrée depuis notre emménagement. Ca existe, les cages à écureuil d’appartement ?
En une semaine, on est passé de 24° dans l’appartement à 29.5° dans la chambre des enfants. Je n’ai jamais été aussi heureuse de découvrir qu’il ne faisait “que” 29° dimanche après-midi.
Je fais la convoyeuse pour une amie d’amie – mais c’est un moment agréable passé à discuter USA et enfants.
J’ai même pu prendre un bébé dans mes bras. Ce qui confirme que je trouve ça toujours aussi craquant mais que c’est fini pour moi !
Le temps de retraverser Paris et je retrouve Malena pour un super déjeuner italien entre copines. Comme d’hab, on papote beaucoup trop.
C’est moi ou j’ai complètement oublié d’envoyer son cadeau d’anniversaire à Armalite ?
J’ai tenu ma deadline ! Et en plus je récolte plein de retours positifs.
Pour la peine, du suuuuucre !
La Crevette n’est pas bien, puis va mieux mais je décide de la garder à la maison quand même. Vendredi, alors qu’elle pète le feu le matin, l’école nous appelle en catastrophe à 14h pour qu’on la récupère. J’ai déjà mentionné qu’on ferait pas de troisième ?
Un dîner propice à de nombreux éclats de rire, alors que c’était pas gagné, et en plus on a drôlement bien mangé.
La séance de conte pour tout-petits à la médiathèque n’est pas mal, mais la conteuse est à baffer : elle rappelle à l’ordre les parents dont les enfants font du bruit et conclut d’un “Seuls les enfants sages peuvent venir voir la poupée” à la fin du spectacle. Si ça te plaît pas d’avoir un public qui bouge, interviens en EHPAD.
Je donne un coup de main à une copine pour l’anniversaire de ses jumeaux. Super inventif (tout un tas d’activités autour des dinosaures), mais je suis lessivée.
Une journée au marché de l’histoire de Compiègne. Bordel, que c’est loin. Et mal chauffé.
Mais forcément on a trouvé comment dépenser de l’argent.
Pour bien débuter la semaine, je retrouve C, C & C pour un déjeuner entre filles (non, je ne plaisante pas).
Il neige ! Malheureusement, la piscine reste ouverte, mon prétexte pour sécher la natation tombe à l’eau (ah, ah).
Et au détour d’une conversation avec Monsieur, entendre ce dernier s’exclamer avec vigueur : “Ah mais je regrette, chez les protestants aussi on a des tubes, et pas des trucs en latin !” (Ceci est une longue histoire)
Leen passe à la maison pour un apéro avant notre soirée à l’opéra demain.
Ma sœur m’a offert le stylo magique de Sailor Venus (qui ne fait stylo mais déco de bureau). Ode à mon adolescence lointaine.
J’ai peu lâché la baby-sitter (sans expérience) dans la fosse aux lions avec les enfants : le Paprika a balancé ses doudous dans le bain de sa sœur, et la Crevette a fait du charme (et des mensonges…) pour manger du chocolat.
Faut-il persister à mettre en scène les oratorios ? Vous avez 4 heures.
Le chat de ma sœur est décédé, à presque 20 ans. Ca fait quelque chose (et c’est le troisième “vieux chat” de notre entourage à être euthanasié depuis cet été).
Vendredi, 17h, la Crevette a 39° de fièvre et la pédiatre est surbookée. Bon début de week-end !
Et alors qu’on envisageait d’aller à la galette des rois de l’école, celle-ci est annulée pour cause d’incendie à proximité. Quand ça veut pas…
Avec la disparition de Michel Legrand, je suis encore plus contente d’avoir vu la Peau d’Âne au théâtre Marigny il y a trois semaines.
“Pour la Comédie-Française, vous préférez mercredi, vendredi ou samedi ?” “Plutôt samedi.” “Je vous ai pris des places pour le mardi, il restait que ça.” Ah euh, bon, d’accord, merci, on va s’organiser.
J’ai fait du tri dans ma vie virtuelle. Peut mieux faire.
Bah voilà, à force de traduire des scènes de cul gay (et pas super bien écrites), je me retrouve avec des pubs Instagram pour des figurines “Out collector figures”. Je veux une prime de risque.
C’est pas à tout le monde que je peux envoyer un “Joyeux Noël” accompagné d’un verset.
Je suis franchement fière de ma table pour fêter le réveillon à trois (le Paprika est couché), d’autant que je n’avais pas prévu grand-chose.
Le dîner est un succès – le saumon sauvage, c’est quand même pas pareil que celui d’élevage. En revanche, comme je le prévoyais, la bûche glacée est “trop glacée” pour Mademoiselle.
Comme les enfants sont claqués par deux jours de festivités, on a fait une grasse matinée jusqu’à 8h15. Joyeux Noël !
Après l’avalanche de cadeaux du 23 (ça vous intéresse un récapitulatif, ou ça vous emmerde ?), je reçois une sublime théière en porcelaine.
Patin à glace et gaufre, une petite habitude bien sympathique pour ces vacances.
On a poireauté près de vingt-cinq minutes dans le froid, mais on a pu goûter le ramen de Noël de Kodawari : dashi aux saint-jacques, bœuf wagyû, yuzukocho, feuille d’ail et œufs de saumon. Une tuerie.
J’ai dû déployer des trésors d’imagination pour que Monsieur ne devine pas ce que j’allais lui acheter comme dernier cadeau de Noël (vu qu’on avait prévu de se rendre dans la boutique ensemble, j’ai dû y passer seule le matin et planquer le paquet au fond de mon sac). Ca a parfaitement marché. Sauf quand j’ai oublié ledit cadeau dans ma table de nuit avant de partir chez mes beaux-parents pour le dernier réveillon… #epicfail
Super soirée en compagnie de Clara et Ioionette, à boire du Pécharmant et manger de la caponata et des fromages. Quand la compagnie est bonne, le temps file !
Le chocolat d’urgence envoyé le 8 décembre par Gasparde est enfin arrivé. Je ne sais pas quels détours l’enveloppe a faits, mais heureusement que le chocolat n’est pas périssable (c’était très bon).
Passer à la poste pour envoyer un contrat oublié dans un coin de mon bureau depuis une semaine (oui, je sais) et un colis de Noël en retard. Est-ce que tout arrivera dans les temps ?
Avoir l’idée géniale de visiter l’installation “Espèces en voie d’illumination” avec les enfants à 18h pendant les vacances scolaires. Je vous en reparle très vite.
Après 5 minutes de route, je m’aperçois qu’on a oublié la gigoteuse. Une fois sur place, je me rends compte que j’ai oublié le cadeau de l’Anglais. Comme tous les ans, mon cerveau est décédé dans les vapeurs de champagne et les relents de saumon fumé.
Je me suis encore fait avoir comme une bleue : trois coupes de champagne, deux verres de vin au déjeuner et, paf, deux heures de sieste. Du coup, je vais lever le pied ces prochains jours.
Le père Noël a mis du temps à passer, les enfants ne se sont pas tous levés à 7h45 comme Mademoiselle qui trépignait, mais le grand déballage a eu lieu.
Je crois qu’avec les idées réparties dans les deux familles, on a fait un strike pour les cadeaux de la Crevette. Elle aime tellement ses rollers qu’elle pourrait dormir avec.
Une chute (d’une marche) dans l’escalier, une boule de Noël cassée, une demi-douzaine de visite dans l’âtre (plein de cendres) de la cheminée… le Paprika est en pleine forme (jetons un voile pudique sur le nombre de Légo éparpillés).
Donc, si je lève le bras droit pour me coiffer… ça bloque la nuque et l’épaule côté gauche. Logique. En tout cas, ça fait mal.
“Vous avez peut-être trop de choses sur les épaules ?” suggère mon psy, l’air de pas y toucher. C’est marrant, j’aurais pas deviné seule.
Une soirée entière pour papoter avec Isa, quel bonheur !
Je sais, le reïki c’est toujours spectaculaire sur moi.
Le déluge de 8h à 8h45 un jour d’école, c’est pas rigolo du tout. La pauvre Isa en a découvert que son manteau n’était pas tout à fait étanche, et c’est sans doute ainsi qu’elle est tombée malade (mais merci à elle de m’avoir accompagnée).
“Tu me conseillerais quel artiste spécialiste du clair-obscur, à part Rembrandt et Caravage ?” “George de La Tour.”
Avant ma deuxième grossesse, je ne croyais pas trop à l’ostéopathie. Aujourd’hui je serais prête à ériger un autel à mon ostéopathe : j’arrive à tourner la tête.
J’ai reçu mon premier cadeau de Noël de l’année : mon colis de Secret Santa.
Je suis complètement larguée dans la nouvelle interface WordPress. Ca se veut plus intuitif, moi je trouve ça plus compliqué.
En revanche, il est toujours impossible de justifier un texte.
Samedi, 11h45. Ce week-end s’annonce quand même très long.
On n’a même pas attaqué mes cookies et je dois rentrer, tsss.
Il m’a fallu pas loin de 48h pour retrouver un sac de fournitures achetées il y a 15 jours. J’ai vraiment besoin de vacances.
Les gaufres froment-sarrasin, ça tue. Le Paprika est du même avis.
Mon premier téléfilm sentimental de Noël, Christmas at Pemberley Manor. C’est mauvais, et je m’ennuie.
1000€ de révision pour la voiture. La semaine débute bien.
15mn de retard sur un cours d’une heure… à ce rythme, à la fin de l’année, je change de jour.
Je connais peu de gens capables d’écrire une critique de bouquin en alexandrins… alors si en plus c’est drôle !
On a enfin trouvé un créneau pour aller goûter les ramens au potimarron de Kodawari. On a bien fait, elles sont à tomber.
Le Cendrillon de Noureev a quand même vieilli. Et puis les costumes, oups.
Jeudi, impossible d’imprimer le document. Vendredi, impossible de trouver l’assistante chargée de me le faire signer. Serait-ce une conspiration ?
C’est officiel, je suis devenue la référence “punaises de lit” de tout mon entourage.
“Alors ?” “Bah j’ai tué personne.” “C’est déjà ça.”
Et si on achetait des gâteaux pour fêter le début du week-end et le départ de Monsieur en mission ? Notez que ça aurait été bien de se consulter, vu qu’on a eu la même idée.
“Ca me fait chier de l’admettre, mais tu avais raison.”
L’Anglais est parti, me voilà seule pour dix jours avec les enfants, j’ai pas franchement hâte.
C’est officiel, on peut ouvrir le calendrier de l’Avent !
“Y’a Machin de ma classe qui m’a dit que j’étais jolie.” Et moi je rigole en imaginant la tête du paternel quand il apprendra l’histoire.
Visite de L et ses enfants, ou comment avoir presque deux heures de tranquillité en gardant un œil vague sur notre progéniture.
Comment ça Angéla Morelli efface son compte Instagram ? Mais noooon !
Et j’ai fini ! Je sors enfin de mon tunnel de boulot débuté en juin. Pour la peine, je m’octroie des mini “vacances” (en restant à la maison avec les enfants et mon job à mi-temps, quoi) jusqu’à décembre.
Chronopost me fait encore suer : j’ai jusqu’à lundi inclus pour récupérer mon colis, mais lundi à 10h le colis est marqué en retour à l’envoyeur. Réponse sublime : “Ah oui y’a écrit toute la journée sur le mail mais nous on fait les réexpéditions le matin.” Bah voyons.
Enfin, il faut aussi que j’acquitte l’Ircec et la taxe d’habitation, et que je recompte la facture du périscolaire.
Au bout de six semaines, la Poste me renvoie la carte envoyée à Isa pour son emménagement. Mais pour le motif de non-distribution, je peux toujours me brosser.
J’ai réussi à boucler les listes de Noël pour les enfants. Maintenant, trouver des idées pour nous, et d’ici la fin de la semaine prochaine.
Il faudra que je retourne voir l’expo “Japonismes” au MAD. Ne serait-ce que pour avoir les cartels.
“Tu seras payée le 23… ah non, en fait tu as été payée hier.” Le fait est.
Bon, c’est pas tout ça, mais j’ai une centaine de pages à traduire d’ici la fin de la semaine, on n’est pas sortis des ronces.
Lundi soir, je dis à Monsieur qu’on va sans doute bientôt recevoir le mail réclamant les listes de Noël et qu’il va falloir s’y mettre. Moins de 24 heures plus tard, ma mère m’envoie un mail sobrement intitulé “Noël”.
Et… le Paprika marche ! C’est merveilleux, on est fiers, tout ça. Maintenant, ça va être encore plus galère de lui interdire de mettre les doigts partout (disons que j’ai bon espoir qu’il lâche les prises électriques pour attaquer les DVD…).
C’est la journée des accomplissements : un cliché de l’Anglais est publié (et crédité) dans l’Equipe. Champa… ah, non, pinard.
“Rédige un panégyrique et tresse-moi des couronnes, j’ai fini ma trad.” “Mazel-tov.”
Angéla publie une story où il est question de Jupiter rétrograde en sagittaire et de perturbations professionnelles. Le soir même, je reçois un message assez déstabilisant sur mon avenir pro (pas celui-là, l’autre). Je suis à deux doigts de hurler au complot.
Oh, j’ai reçu le colis du concours Glory Book Box remporté sur Instagram. Avec du washi tape Card Captor Sakura.
“Ah mais j’me souviens de vous : vous êtes la dame que j’ai fait pleurer quand je lui ai annoncé qu’elle avait des puces.” Le fait est. Et vous, votre non immunisation à la toxoplasmose, ça donne quoi ?
“Ils sont magnifiques, vos enfants” (La véto). “Quand même, ils sont beaux, vos enfants” (Ma voisine, une demi-heure plus tard). Continuez à flatter mon ego maternel qui n’a pas besoin de ça, tiens.
Mais qu’est-ce qui m’a pris d’aller traîner les enfants, seule, au fin fond du 11ème arrondissement une fin d’après-midi pluvieuse pour assister à un spectacle ? L’angoisse de voir mon salon saccagé, certainement.
Oui, j’ai fait un roulé à la framboise. Mais c’est pas ma faute, le Paprika refusait de dormir et j’avais besoin de me calmer.
8h à se refiler le Paprika telle une patate chaude (et remuante, très remuante), c’est long. Mais au moins on ne s’est pas fait détester.
Les chutes du Niagara, on ne s’en lasse pas tellement c’est beau. La ville, en revanche, on s’en lasse très bien (c’est moche et bétonné).
Les arbres arborent des couleurs sublimes, de vert à rouge vif en passant par toute la gamme des jaunes et des orange. Ca me rappelle beaucoup le Japon, en fait.
Toronto est toujours aussi piéton-unfriendly (ah purée, ces trams!).
J’ai dévalisé Soma Chocolate Maker et David’s Tea. Oh, et la boutique vintage de Distillery.
On a marché 9 kilomètres en une journée, et Mademoiselle ne s’est pas plainte une seule fois. Elle a même refusé de prendre le tram au motif qu’elle préférait marcher.
Il faut que j’écrive mon article sur le dernier spectacle de l’Opéra Atelier avant la fin du mois de novembre, vu qu’ils seront à Versailles.
Après onze ans de vie commune, on se retrouve à 2 +2 dans un pub à dîner en écoutant la musique de notre jeunesse.
Les Red Sox ont gagné les World Series !
En revanche, les Toronto Maple Leafs ne jouent pas très bien…
Premier jack-o-lantern familial, qui rend pas mal, même bouffé par les écureuils.
Trick or treat ?
La légalisation du cannabis, même si elle est sacrément encadrée, fait flotter une odeur caractéristique un peu partout en ville (dommage pour moi, cette odeur me colle la migraine direct).
En quelques jours, on a testé deux types d’aires de jeux d’intérieur différents : la version bobo-écolo-chic avec jouets en bois, wifi gratuit, boissons chaudes à discrétion pour les parents et distributeur de snacks sains (si), et la version plastique-jeux vidéo-cafétéria-mini golf.
Un jour beau temps, un jour pluie-crachin, un jour pluie-neige fondue-vent, un jour gris-mais-pas-trop-froid, un jour pluie diluvienne… C’est bien, on n’a pas le temps de se lasser.
Et la fille qui a réussi à rentrer en France avec ses cartes postales écrites et timbrées dans son sac à main, c’est…?
La prochaine fois, on fait un combo avec le Québec ou les Rocheuses.
En tout cas, le prochain voyage en famille sera moins loin (et moins coûteux !).
Trouvés dans ma boîte aux lettres : la Glory Book Box jumelée avec le Renard Doré, la BD de Yatuu financée en juin, et… l’appel à cotisation de l’Ircec. Arg.
J’ai gagné un lot surprise au concours de la Glory Book Box !
Le décalage horaire, c’est pour les faibles. Et pour les parents.
Début novembre, on récolte pas loin d’un kilo de framboises à la ferme.
Le Paprika ne marche toujours pas. En revanche, il sait désormais descendre deux marches en se tenant à une rampe.
J’ai rendu ma trad ! J’ai fini ! A moi la glande et le repos pour au moins une semaine ! (Deux jours plus tard, après avoir regardé mon ordinateur dans le blanc des yeux pendant 48h, je me suis remise au boulot…)
Sur les quatre semaines de cours jusqu’à la Toussaint, j’aurai raté la moitié des séances de natation.
Oh, un reportage sur les punaises de lit. C’est gentil, fallait pas.
En apprenant le retour catastrophe du Soyouz en mode balistique, se ruer sur Dans la combi de Thomas Pesquet de Marion Montaigne pour relire l’explication technique.
Encore une fois, je ne suis pas franchement convaincue par la robe de la mariée… et encore moins par son choix de tenue pour la soirée (mais ce diadème !).
Organiser, sur l’impulsion de Claire, une rencontre surprise avec une de mes lectrices qui… fait sa thèse sur mon oeuvre (si) (j’ai les chevilles qui enflent, vous n’imaginez pas) (et j’ai totalement la pression, aussi).
Au square, rencontrer un petit garçon répondant au doux prénom de Sun. Se retenir très fort de demander “Comme le sel régénérant?” (je suis héroïque).
Un délicieux curry vert de poulet, et une vraie discussion entre adultes. Le bonheur, ça tient parfois à peu de chose.
Mince alors, j’ai gagné le concours organisé par Le Monde pour ses abonnés : à moi les deux entrées gratuites pour l’exposition Meiji à Guimet.
Entendre le Paprika tousser une partie de la nuit et se mettre immédiatement à envisager une bronchiolite qui se déclencherait pendant le vol. Stressée, moi ? Allons.
Pester très fort contre la Poste, qui apparemment égaré la carte envoyée à Isa dans sa nouvelle maison.
“Alors comme ça tu likes mes photos un dimanche à 6h du matin ?” “Alors comme ça t’es déjà levé un dimanche à 6h du matin ?”
Quand même, ces dernières semaines, la thématique de mes lectures pourrait être “Femmes et identité juive au regard de la Shoah” (vous avez quatre heures).